Comment sont réparties les économies de frais de notaire ?
Les économies sont réparties proportionnellement au prix des appartement où selon un accord entre les propriétaires
L’expert béa vous accompagne dans cette démarche. Pour plus d’informations vous pouvez vous rendre sur la page https://www.bea.immo/lechange-immobilier/
Acheter à Paris en 2025, c’est un peu comme courir un marathon… sauf que la ligne d’arrivée bouge tout le temps. Les prix restent élevés, la concurrence est rude, et le marché ne laisse pas de place à l’improvisation. Pourtant, une méthode encore méconnue – l’échange immobilier définitif – peut faire gagner du temps, réduire les frais et sécuriser l’achat. Voici le guide complet des quartiers à suivre et de la stratégie à envisager.
Paris en 2025 : un marché unique et segmenté
Le marché parisien reste atypique : dense, segmenté, et résolument attaché à son prestige. En août 2025, le prix moyen au m² tourne autour de 10 000 €, mais la réalité varie énormément :
Quartiers abordables : autour de 7 500 € à Belleville, dans certaines zones du 19e et du 20e.
Quartiers premium : plus de 15 000 € dans le 6e, le 7e et une partie du 8e.
Même avec un léger ralentissement du marché depuis 2023, la capitale conserve une demande soutenue. Cependant, les délais de vente se sont allongés, et les acheteurs sont plus attentifs aux prix et à la qualité des biens.
Les quartiers à surveiller en 2025
Belleville (19e et 20e)
Encore relativement accessible pour Paris, Belleville conserve son esprit bohème et sa mixité culturelle. La présence de lofts, d’ateliers réhabilités et de petites copropriétés attire autant les jeunes actifs que les investisseurs. C’est l’un des rares secteurs où un premier achat reste envisageable avec un budget “raisonnable” pour la capitale.
Batignolles (17e)
Le quartier des Batignolles est devenu une valeur sûre. Son atmosphère de village, ses commerces indépendants et ses espaces verts séduisent les familles. Les prix sont plus élevés que dans l’Est parisien, mais la stabilité du marché en fait un investissement patrimonial solide.
Picpus et Nation (12e)
Des quartiers calmes, bien desservis, avec une offre variée en appartements familiaux. Les prix y sont plus doux que dans les arrondissements centraux, tout en restant dans Paris. Un choix judicieux pour ceux qui recherchent de l’espace sans sacrifier la proximité aux transports.
Neuilly-sur-Seine (limitrophe)
Juste de l’autre côté du périphérique, Neuilly allie prestige, espaces verts et standing. Les prix y sont élevés, mais la qualité de vie et la proximité de Paris intra-muros attirent toujours les acheteurs à fort pouvoir d’achat.
Pourquoi l’échange immobilier est un atout à Paris
Sur un marché comme Paris, acheter signifie souvent vendre un autre bien – en province, en banlieue ou dans un autre arrondissement – pour financer l’opération. Or, ce processus classique présente plusieurs inconvénients :
Deux actes notariés : donc deux séries de frais complets (7 à 8 % chacun dans l’ancien).
Délais longs : il faut souvent vendre avant de pouvoir acheter, ce qui peut vous faire perdre un bien coup de cœur.
Prêt relais risqué : en cas de décalage, vous pouvez vous retrouver avec deux crédits à gérer.
Stress logistique : deux déménagements, deux signatures, deux séries de négociations.
L’avantage concret de l’échange immobilier définitif
L’échange immobilier définitif contourne ces obstacles :
Un seul acte notarié pour les deux biens.
Frais réduits : calculés sur la valeur du bien le plus cher, du moins cher et de la soulte (1 % + 5 % + 6,3 %), au lieu de 7-8 % sur chaque bien.
Jusqu’à 60 % d’économies par rapport à une vente + achat classique.
Synchronisation parfaite : la vente et l’achat sont simultanés.
Exemple : Un 2 pièces aux Batignolles estimé à 600 000 € échangé contre un 3 pièces à Nation à 750 000 € :
Vente/achat classique : environ 101 000 € de frais cumulés.
Échange immobilier : environ 45 000 € de frais (répartis entre les deux parties). Économie : 56 000 € et suppression du risque de prêt relais.
Les quartiers où l’échange immobilier peut être stratégique
Batignolles ↔ Nation : famille cherchant plus grand contre couple cherchant à se rapprocher du centre.
Belleville ↔ Neuilly : acheteur troquant un bien de standing contre un logement plus spacieux dans un quartier vivant.
Quartiers périphériques ↔ hypercentre : échanges fréquents pour raisons professionnelles ou familiales.
En combinant un marché ciblé et un outil comme Béa Immo, vous pouvez repérer des propriétaires ayant un profil complémentaire au vôtre et réduire drastiquement les délais.
Budget et financement à Paris
Frais de notaire : 7-8 % dans l’ancien, 2-3 % dans le neuf, et bien moins en échange.
Taux de crédit : autour de 3 % en août 2025, avec un apport toujours apprécié des banques.
Charges de copropriété : variables, souvent élevées dans l’ancien avec ascenseur ou gardien.
Conclusion : choisir le bon quartier… et la bonne méthode
Acheter à Paris en 2025, c’est un équilibre entre l’emplacement, le timing et la stratégie financière. Identifier les quartiers porteurs est essentiel, mais repenser la méthode d’acquisition peut transformer un projet difficile en opération fluide et rentable. L’échange immobilier, encore peu connu, offre une alternative concrète pour réduire les coûts et gagner du temps dans l’un des marchés les plus compétitifs au monde.
Introduction : un marché immobilier en pleine mutation
En 2025, acheter une maison en France n’est plus seulement une affaire de visites et de négociations. Le marché a changé. Les prix se stabilisent dans certaines zones, reculent encore dans d’autres, et les taux d’intérêt, bien qu’en baisse par rapport à 2023-2024, restent un frein pour beaucoup d’acquéreurs. Résultat : des délais plus longs pour vendre et acheter, des prêts relais coûteux… et parfois des projets qui tombent à l’eau.
Pourtant, il existe une méthode que peu de gens connaissent, mais qui peut transformer complètement votre projet immobilier : l’échange immobilier définitif. Et si, au lieu de vendre pour acheter, vous échangiez directement votre maison contre celle qui vous plaît ?
1. Pourquoi acheter une maison est devenu plus complexe
Avant de parler de l’échange, il faut comprendre pourquoi la transaction immobilière classique est devenue plus contraignante.
a) Des délais de vente qui s’allongent
En moyenne, il faut entre 90 et 120 jours pour vendre une maison en France, parfois plus dans les zones rurales. Chaque mois qui passe coûte cher : remboursements du prêt actuel, entretien du bien, charges, impôts.
b) Le poids du prêt relais
Pour acheter avant de vendre, la solution traditionnelle est le prêt relais. Mais il cumule :
Intérêts souvent plus élevés que les prêts classiques
Obligation de vendre dans un délai limité
Pression psychologique et financière
c) Des frais qui grimpent
Entre les frais d’agence, de notaire, de déménagement et les éventuels travaux, la facture grimpe vite. Beaucoup de propriétaires perdent plusieurs milliers d’euros rien qu’en cumulant double frais de notaire (vente + achat).
2. L’échange immobilier : une solution qui change la donne
L’échange immobilier définitif est un contrat dans lequel deux propriétaires s’échangent la propriété de leurs biens, avec ou sans compensation financière (soulte). Il est encadré par le Code civil, articles 1702 à 1707, et doit être validé par un notaire.
Concrètement :
Vous trouvez un propriétaire qui souhaite quitter sa maison… pour une maison comme la vôtre.
Vous évaluez vos biens respectifs.
Si l’un vaut plus cher, une soulte compense la différence.
Vous signez un seul acte notarié et devenez chacun propriétaire du bien de l’autre.
📌 Avantage clé : pas de prêt relais, pas de mise en vente publique, pas de double frais de notaire.
3. Comparatif : vente classique vs échange immobilier
Critère
Vente + Achat classique
Échange immobilier
Nombre d’actes notariés
2
1
Droits de mutation
Sur 100% des prix
Sur le bien le plus cher
Délai moyen
3 à 12 mois
1 à 3 mois
Risque de prêt relais
Oui
Non
Frais d’agence
Oui (souvent)
Non (direct propriétaire)
4. Exemple concret : comment acheter une maison par échange
Scénario réel inspiré de Béa Immo
Famille A : maison de 110 m² à Saint-Nazaire, valeur 350 000 €
Famille B : maison de 95 m² à Nantes, valeur 370 000 € Les deux familles veulent changer :
Les A souhaitent se rapprocher de Nantes pour le travail.
Les B veulent plus grand et un jardin, en périphérie.
💡 Solution : Échange immobilier avec soulte de 20 000 € versée par la famille A à la famille B. Résultat :
Chacun a sa nouvelle maison en moins de 2 mois
Pas de frais d’agence
Droits de mutation calculés sur 370 000 € au lieu de 720 000 € cumulés.
5. Les avantages financiers de l’échange pour acheter une maison
a) Réduction des frais de notaire
Dans un achat classique, vous payez des frais sur le prix total d’achat. En échange, les frais s’appliquent uniquement sur la valeur du bien le plus élevé.
b) Pas de prêt relais
Vous devenez propriétaire du nouveau bien en même temps que vous cédez l’ancien. Pas de double remboursement, pas de risque de vendre à perte par urgence.
c) Moins de frais annexes
Pas de publicité de vente, pas de visites multiples, pas d’honoraires d’agence (si échange direct).
6. Les étapes pour acheter une maison par échange
Évaluer votre maison avec un professionnel (ou plusieurs pour croiser les estimations)
Chercher un bien équivalent sur les plateformes spécialisées comme Béa Immo
Entrer en contact avec le propriétaire pour vérifier la compatibilité des projets
Négocier la soulte si nécessaire
Signer un compromis d’échange chez le notaire
Finaliser l’acte authentique et déménager
7. Les points de vigilance
Estimation juste : une surévaluation ou sous-évaluation bloque l’accord.
Prêts existants : si un crédit est en cours, il faudra l’accord de la banque.
Diagnostics : les mêmes que pour une vente classique (DPE, amiante, plomb…).
Fiscalité : en cas de soulte, elle est soumise aux droits de mutation.
8. Témoignages : “Nous avons échangé notre maison et économisé 12 000 €”
“Nous pensions vendre notre maison à Pornic pour acheter à Nantes. Après 4 mois sans acheteur, nous avons découvert Béa Immo. En un mois, nous avons trouvé une famille qui cherchait l’inverse. L’échange nous a permis d’éviter les frais d’agence et de réduire nos frais de notaire. En prime, pas de prêt relais !” — Céline et Marc, 42 et 45 ans.
Conclusion : une opportunité encore trop méconnue
Acheter une maison en 2025 ne rime plus forcément avec vente longue et prêt relais. L’échange immobilier est une alternative légale, sécurisée et financièrement avantageuse. Pour ceux qui savent où chercher, c’est souvent le chemin le plus court vers la maison idéale.
Changer de logement sans passer par un prêt relais, c’est possible. La clé : connaître précisément votre mensualité « max » et la transformer en capital empruntable, au bon taux et sur la bonne durée. Je vous montre la méthode (très simple), des exemples concrets aux taux en vigueur (autour de 3 %–3,3 %), et, pour se projeter, un simulateur de surface : que pouvez-vous acheter à Paris et à Lyon avec 1 000 € par mois ? Enfin, je vous renvoie au calculateur Béa pour obtenir votre capacité personnalisée et explorer l’alternative la plus maligne au relais : l’échange immobilier définitif.
Pourquoi se passer d’un prêt relais ?
Le prêt relais finance temporairement l’achat avant la revente. Utile, certes, mais il ajoute un crédit, des intérêts et un grain de stress si la vente traîne. À l’inverse, bâtir un plan « sans relais » revient à calibrer un seul emprunt pérenne, en s’appuyant sur votre taux d’effort admissible et votre budget réel. Les banques s’alignent sur les règles HCSF : taux d’effort maximal de 35 % (assurance comprise) et durée d’amortissement jusqu’à 25 ans, avec une marge de dérogation limitée.
La méthode express pour calculer votre capacité d’emprunt
Mensualité maximale : Mensualité max ≈ 35 % de vos revenus nets mensuels – charges récurrentes (crédits, pensions, etc.) – prime d’assurance emprunteur estimée.
Transformer une mensualité en capital : Utilisez la formule d’un prêt amortissable à taux fixe (hors assurance) :
M = C × [ i(1+i)^n / ((1+i)^n − 1) ]
C = M × [ ((1+i)^n − 1) / ( i(1+i)^n ) ] où M = mensualité, C = capital emprunté, i = taux mensuel (taux annuel/12), n = nombre total de mensualités.
Inclure les frais d’acquisition : Ajoutez au besoin les frais de notaire, une éventuelle commission d’agence et la part d’assurance emprunteur dans la mensualité.
Les taux en vigueur : un repère à 3 %–3,3 % en septembre 2025
Les baromètres confirment des taux moyens stabilisés autour de 3,17 % sur 20 ans et 3,29 % sur 25 ans, avec des « meilleurs profils » parfois en dessous de 3 %. Des acteurs de marché affichent des fourchettes proches (≈3,22 % sur 20 ans et ≈3,35 % sur 25 ans). Ces niveaux encadrent bien une hypothèse de calcul entre 3 % et 3,3 %.
Exemples concrets (hors assurance)
Hypothèse : prêt à taux fixe, mensualité constante.
Combien emprunte-t-on avec 1 000 € / mois ? • 25 ans à 3,00 % : ≈ 210 900 € • 25 ans à 3,30 % : ≈ 204 100 €
Et si votre mensualité max est 1 500 € / mois ? • 25 ans à 3,00 % : ≈ 316 300 € • 25 ans à 3,30 % : ≈ 306 100 €
Lecture : à mensualité identique, gagner 0,3 point de taux (de 3,3 % à 3,0 %) ou allonger de 20 à 25 ans peut libérer plusieurs milliers d’euros de capacité. Calibrez la durée avec prudence : plus long = mensualité plus douce, mais coût total plus élevé.
Simulateur de surface : que vaut 1 000 € / mois à Paris et Lyon ?
En septembre 2025, CAFPI publie la surface finançable pour 1 000 € de mensualité sur 25 ans (au « top taux » des barèmes) selon le prix moyen au m² :
Ville
Prix moyen au m²
Surface finançable pour 1 000 €/mois*
Paris
9 569 €
21,35 m²
Lyon
4 699 €
43,48 m²
* Montant emprunté correspondant ≈ 204 300 € (21,35×9 569 ≈ 204 298 € ; 43,48×4 699 ≈ 204 313 €), cohérent avec une mensualité de 1 000 € sur 25 ans autour de 3,3 %. Source des prix et surfaces : baromètre CAFPI, septembre 2025.
Envie de vous projeter dans votre ville ? Calculez votre capacité personnalisée et voyez, en temps réel, la surface finançable selon votre budget : ouvrez le calculateur Béa depuis ce bouton dans l’article.
Sans prêt relais : 3 leviers qui font la différence
Optimiser la mensualité admissible : réduire ou regrouper un petit crédit conso peut ramener votre taux d’effort sous 35 %.
Jouer la durée intelligemment : viser 25 ans pour absorber la transition, puis rembourser par anticipation après la vente de votre bien (tout en restant dans le cadre HCSF).
Activer les aides à l’accession : selon le projet, le PTZ peut compléter le plan de financement (élargi au neuf jusqu’à fin 2027). Renseignez-vous dans le calculateur.
Cas pratique (récit)
Camille et Julien, 36 et 38 ans, deux CDI à Lyon (4 300 € nets à deux). Leur banque fixe une mensualité cible à 1 505 € assurance incluse, soit un taux d’effort de 35 %. En modulant la part assurance et en passant sur 25 ans à ~3,2 %, leur capacité se cale autour de 300 000 €, de quoi viser un T3 familial sans recourir au relais. Après la signature, ils utilisent une partie du produit de vente pour rembourser par anticipation et conservent une mensualité confortable.
Passer à l’action avec Béa
Estimez votre capacité d’emprunt en quelques secondes grâce au calculateur Béa intégré au site.
Évitez le prêt relais en explorant l’échange immobilier définitif : vous synchronisez achat et revente entre propriétaires, avec un seul financement optimisé et, souvent, un calendrier plus serein.
FAQ express
Le taux d’effort à 35 % est-il intangible ? Il encadre la majorité des dossiers. Une marge de flexibilité existe, strictement contingentée par les banques. Mieux vaut monter un dossier solide dans l’intervalle.
Dois-je viser 20 ou 25 ans ? 25 ans lisse la mensualité (utile sans relais). Si vous anticipez une rentrée d’épargne (vente, prime…), vous pourrez rembourser plus tôt.
Comment intégrer l’assurance ? Les banques raisonnent en taux d’effort assurance incluse. Faites aussi jouer la concurrence sur la délégation d’assurance pour gagner quelques dizaines d’euros par mois.