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Comment sont réparties les économies de frais de notaire ?

Les économies sont réparties proportionnellement au prix des appartement où selon un accord entre les propriétaires
L’expert béa vous accompagne dans cette démarche. Pour plus d’informations vous pouvez vous rendre sur la page https://www.bea.immo/lechange-immobilier/

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Quand l’échange immobilier devient une solution face à la correction des prix à Lyon

À Lyon, la marche arrière des prix bouscule les plans : vendre avant d’acheter devient plus risqué, le prêt relais effraie et l’attente paralyse. Chez Béa Immo, on voit pourtant émerger une alternative simple et sécurisée : l’échange immobilier définitif. Quand deux propriétaires s’accordent sur une valeur, on signe un seul acte, on s’échange les clés et chacun avance — sans dépendre d’une chaîne de ventes fragile.

Lyon 2025 : un marché qui corrige, des projets qui s’ajustent

La métropole a connu des années d’euphorie, puis un refroidissement net. Cette correction ne touche pas tous les quartiers de la même manière, mais elle complique un point précis : revendre pour racheter dans des délais courts et sans y laisser son apport. Résultat, beaucoup de ménages « figent » leur projet en attendant des jours meilleurs. C’est précisément dans ce contexte que l’échange immobilier reprend tout son sens.

À retenir : la baisse n’empêche pas d’avancer — elle invite à réorganiser son projet pour réduire les risques et sécuriser le financement.


L’échange immobilier, concrètement

Définition. Deux propriétaires conviennent d’échanger leurs biens de manière définitive, via un notaire. L’acte authentique transfère la propriété de part et d’autre au même moment. Si les biens n’ont pas la même valeur, une soulte compense la différence.

Diagnostics et conformité. Comme pour une vente classique, diagnostics techniques (dont DPE) et documents d’urbanisme sont requis. Le notaire vérifie titre, servitudes, charges de copropriété et hypothèques, puis rédige l’acte.

Frais et fiscalité (vue d’ensemble). Les frais d’acte existent, mais l’assiette peut être plus favorable qu’une vente + achat successifs :

  • perception d’un droit d’échange calculé sur le lot le plus faible ;
  • droits de mutation appliqués sur la soulte lorsqu’il y en a ;
  • émoluments et débours notariés, comme en vente classique, mais pas de double commission d’agence si l’accord est trouvé directement entre propriétaires via Béa Immo.

Le bon réflexe : faire simuler les frais par le notaire à partir des valeurs retenues et de la soulte. Vous évitez ainsi les mauvaises surprises et vous comparez à armes égales avec un scénario « vendre puis acheter ».


Pourquoi l’échange protège mieux en période de baisse

Synchronisation : tout se joue en un seul acte, exit la chaîne (vente → prêt relais → achat) et le risque de décalage.

Pouvoir d’achat lisible : en fixant la soulte, vous verrouillez l’équilibre budgétaire et limitez l’impact d’une nouvelle baisse entre compromis et acte définitif.

Frais optimisés : l’assiette (lot le plus faible et/ou soulte) peut réduire l’addition par rapport à un achat « plein pot » après revente, surtout si vous évitez les commissions d’agence.

Temps gagné : pas de commercialisation longue à supporter ; on négocie, on se met d’accord, on signe.

Moins de stress bancaire : souvent, pas de prêt relais ; et si un financement reste nécessaire pour la soulte, il est ciblé et plus facile à calibrer.


Exemple chiffré (illustratif) : T3 à Lyon 7e ↔ maison de ville à l’ouest

  • Valeurs retenues : appartement à 420 000 € ↔ maison à 460 000 € ; soulte de 40 000 €.
  • Scénario A (vendre puis acheter) : droits de mutation sur 460 000 €, émoluments, débours, plus éventuelle commission d’agence et coût d’un prêt relais.
  • Scénario B (échange) : droit d’échange calculé sur le lot le plus faible (420 000 €) + droits de mutation sur la soulte (40 000 €) + émoluments et débours. Pas de double commission d’agence si appariement via Béa Immo.

Lecture : selon la structure exacte des frais, l’échange peut générer des économies substantielles et apporte surtout une sécurité de calendrier.

Simulation indicative : à affiner par votre notaire selon le département, la nature des biens et les options de financement.


Où l’échange est le plus pertinent à Lyon

  • Arrondissements centraux (1er, 2e, 7e) : idéal pour des échanges « appartement ↔ appartement » ou « appartement ↔ maison de ville », avec des valeurs proches.
  • Ouest lyonnais et communes proches : familles en quête d’espace contre ménages qui recentrent en ville ; l’échange limite les allers-retours sur le marché et sécurise la transition.
  • Biens à rénover / DPE F ou G : la décote sur les passoires thermiques peut être absorbée dans la négociation globale d’un échange, avec un projet travaux plus lisible.

Mode d’emploi avec Béa Immo

1. Déposez votre bien : description complète, DPE, photos récentes, critères d’échange (type de bien, zones ciblées, budget de soulte).

2. Matchez intelligemment : notre algorithme compare valeurs, surfaces, DPE et localisation pour proposer des appariements pertinents.

3. Négociez la soulte : nous outillons la discussion (estimations par quartier, fourchettes de prix) pour converger vers un accord équilibré.

4. Signez chez le notaire : un seul rendez-vous, un seul acte, des clés qui changent de mains le même jour.


Témoignage

« Nous avions acheté en 2021. Avec la baisse, revendre pour racheter nous faisait perdre du temps et de l’argent. L’échange via Béa Immo nous a permis de passer d’un T3 à Saxe-Gambetta à une maison à Tassin, en fixant une soulte claire. Pas de prêt relais, pas de chaîne. On dort mieux. »Élodie & Marc


Questions fréquentes

Peut-on échanger si l’un des deux biens a un crédit en cours ? Oui, sous réserve d’accord bancaire : soit vous rachetez le capital restant dû, soit vous négociez la portabilité si votre banque la propose. Votre conseiller vous guide.

Et la fiscalité sur la plus-value ? Les règles s’alignent sur une vente classique (exonération résidence principale, régime de droit commun pour une résidence secondaire). Le notaire vous éclaire selon votre cas.

Quid du DPE ? Les diagnostics sont obligatoires. Un DPE défavorable impacte la valeur ; intégrer un budget travaux dans l’échange est souvent gagnant.

Est-ce possible entre plusieurs propriétaires ? Oui : on peut organiser un échange à trois (ou plus) si les soultes s’équilibrent et que chaque transfert est formalisé dans l’acte.


Repères de prix (ordre de grandeur, automne 2025)

Secteur lyonnaisPrix moyen indicatif au m²
Ville de Lyon (tous biens)~4 700–4 800 € / m²
Lyon 2e~5 800–5 900 € / m²
Lyon 7e~4 700–4 800 € / m²
Lyon 5e~4 500–4 600 € / m²

Ces fourchettes servent uniquement de repères pour estimer une soulte. Affinez avec des estimations récentes et un notaire.


Conseils pratiques pour réussir son échange à Lyon

  • Préparez un dossier carré : DPE, factures de travaux, PV d’AG, règlement de copropriété, diagnostics.
  • Restez réalistes sur les valeurs : basez-vous sur des transactions locales récentes, pas sur les prix d’annonce.
  • Anticipez la soulte : simulez son financement et l’impact des droits afférents.
  • Soyez souples sur le calendrier : un échange s’organise vite, à condition de baliser la logistique (déménagement, écoles, travaux).

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Pas d’acheteur ? Pas d’offre au prix ? Finis les mauvais plans : passez à l’échange immobilier définitif

Vous avez beau relancer, organiser des visites, négocier… rien n’y fait : pas d’acheteur sérieux, ou des offres trop basses. Et si vous arrêtiez de subir le marché ? L’échange immobilier définitif permet à deux propriétaires de s’échanger leurs biens, avec un acte notarié unique et, à la clé, des économies substantielles sur les frais. C’est simple, légal, accompagné : une voie express pour débloquer votre projet quand la vente classique s’enlise.


Pourquoi l’échange est l’arme anti-galère quand le marché bloque

  • Un seul acte notarié au lieu de deux : au lieu d’un achat puis d’une revente, l’échange se formalise en une seule signature, sécurisée par le notaire. C’est express et lisible.
  • Des frais de notaire souvent allégés : dans un échange, la taxation suit un régime spécifique. Résultat : jusqu’à 60 % d’économies par rapport à deux opérations classiques, selon la configuration des biens et la présence d’une soulte.
  • Légalité et cadre clair : l’échange immobilier est prévu par la fiscalité française (références CGI citées par Béa) et pratiqué de longue date.
  • Moins d’attente, plus d’action : vous entrez dans une communauté de propriétaires qui publient en même temps et cherchent un duo compatible, au lieu d’espérer un acheteur « idéal ».

Comment ça marche concrètement

  1. Vous inscrivez votre bien et votre recherche (ville, type, surface, préférences).
  2. Vous matchez : coups de cœur réciproques, visite, puis négociation.
  3. Vous arbitrez la valeur : si les biens n’ont pas la même valeur, on prévoit une soulte (l’ajustement financier).
  4. Vous signez un seul acte chez le notaire, avec tous les diagnostics obligatoires, comme pour une vente.

Combien ça coûte ? Exemple simple et lisible

SituationVente classique (2 opérations)Échange immobilier (1 acte)
Bien A = 300 000 € / Bien B = 400 000 €Frais « usage » ~8 % sur chaque achat (≈ 24 000 € + 32 000 €)Méthode spécifique déclarée par Béa : 5 % sur le bien le moins cher + 1 % sur le plus cher + 6,3 % sur la soulte (≈ 25 300 € au total dans l’exemple)
Total indicatif≈ 56 000 €≈ 25 300 €
Économie≈ 55 % d’économies dans l’exemple Béa

Remarque : le notaire calcule précisément la taxation applicable à votre cas (nature des biens, valeurs retenues, éventuelle soulte). Les pourcentages et l’économie ci-dessus illustrent l’exemple publié par Béa.


Échange vs. vente classique : qui gagne quand on manque d’acheteurs ?

CritèreVente classiqueÉchange définitif
DélaisDépend du nombre d’acheteurs et de la négociationAccès direct à une communauté qui publie pour échanger, matching en continu
VisibilitéAnnonces publiques, démarchageAnnonces anonymisées, pas de démarchage, accompagnement dédié
SécuritéCompromis puis acteActe authentique unique d’échange, diagnostics identiques
Coûts2 actes d’achat/vente, frais et commissionsRégime spécifique d’échange, économies potentielles + commission Béa réduite
PsychologiePression sur le prix et la négociationNégociation bilatérale (bien contre bien + soulte), logique « gagnant-gagnant »

Les profils pour qui l’échange est particulièrement pertinent

  • Vous n’obtenez pas d’offre au prix malgré des visites : l’échange réunit deux projets compatibles, pas un acheteur opportuniste.
  • Vous devez bouger vite (poste, école, santé) : un seul acte, un calendrier resserré.
  • Vous hésitez à baisser trop : la soulte permet d’équilibrer sans brader.
  • Vous refusez le démarchage : annonces anonymisées, contact centralisé.

Questions fréquentes

Est-ce légal ?
Oui ; Béa renvoie aux références CGI et pratique l’échange avec notaire.

Peut-on échanger avec des valeurs différentes ?
Oui ; on prévoit alors une soulte.

Les diagnostics sont-ils obligatoires ?
Oui, comme dans une vente : DPE, etc.

Et si je n’ai pas d’acheteur ?
Ce n’est plus le sujet : vous cherchez un duo d’échange, pas « un acheteur ».


Checklist pratique pour réussir votre échange

  • Soignez votre annonce et vos photos.
  • Définissez un périmètre de recherche réaliste (quartiers, surfaces, prestations).
  • Anticipez la soulte possible et échangez tôt avec votre banque si vous avez un crédit en cours.
  • Constituez votre dossier (titres, diagnostics, règlement de copropriété, etc.).

Plus vous publiez tôt, plus vous matcherez vite. Et vous n’avez pas besoin d’attendre « l’acheteur parfait ».

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L’échange immobilier : un levier méconnu pour optimiser la fiscalité des successions

En France, la transmission d’un patrimoine immobilier s’accompagne souvent d’une fiscalité lourde, en particulier lorsque les biens sont nombreux ou mal répartis entre héritiers. Pourtant, une solution méconnue existe : l’échange immobilier définitif. Au-delà de l’avantage pratique, il peut aussi représenter un outil stratégique pour optimiser les droits de succession. Décryptage.

L’échange immobilier : une alternative à la vente classique

L’échange immobilier consiste à céder un bien contre un autre, entre particuliers ou au sein d’une famille, avec ou sans soulte. Contrairement à une vente classique suivie d’un rachat, l’échange réduit les frais liés aux droits de mutation, puisqu’ils ne s’appliquent que sur la différence de valeur entre les biens échangés.

Dans le cadre d’une succession, cet outil juridique est particulièrement intéressant pour :

  • Rééquilibrer la répartition entre héritiers.
  • Simplifier la gestion d’un patrimoine familial dispersé.
  • Réduire les coûts fiscaux liés à la mutation des biens.

Transmission patrimoniale : un casse-tête fiscal

Lorsqu’un bien immobilier est transmis, les héritiers doivent s’acquitter de droits de succession calculés sur la valeur vénale du bien au jour du décès. Plus le patrimoine est important, plus la facture fiscale est lourde.
À titre d’exemple, au-delà de 552 324 € transmis par parent et par enfant, le taux marginal atteint 45 %.

Dans ce contexte, multiplier les ventes puis rachats peut rapidement générer des frais de notaire et des impôts élevés. C’est ici que l’échange immobilier se distingue comme une voie de rationalisation fiscale.


Comment l’échange immobilier optimise-t-il la succession ?

  • Moins de droits de mutation : dans un échange, la taxation ne s’applique que sur la différence de valeur (la soulte), et non sur la totalité du bien.
  • Répartition simplifiée entre héritiers : un héritier peut échanger une maison contre un appartement pour équilibrer les lots, évitant ainsi une indivision source de conflits.
  • Anticipation successorale : des parents peuvent organiser l’échange de biens entre leurs enfants de leur vivant, réduisant ainsi la valeur taxable de la succession.
  • Transmission progressive : l’échange peut s’intégrer dans une stratégie de donation-partage, permettant d’éviter des déséquilibres au moment de la succession.

Exemple concret

Imaginons deux frères héritant d’une maison en Bretagne et d’un appartement à Nantes.

  • Valeur maison : 400 000 €
  • Valeur appartement : 380 000 €

Plutôt que de vendre et racheter, ils peuvent échanger les biens, avec une soulte de 20 000 € pour compenser.
👉 Résultat :

  • Les droits de mutation ne s’appliquent que sur 20 000 € (et non sur 780 000 €).
  • Les frais de notaire sont largement réduits.
  • Chaque frère repart avec un bien distinct, évitant l’indivision.

Témoignage

"Nous avons choisi l’échange immobilier pour régler la succession familiale. Au lieu de vendre les biens et payer des frais énormes, nous avons organisé un échange. Cela nous a permis d’économiser plusieurs dizaines de milliers d’euros et d’éviter des conflits entre frères et sœurs." — Claire, héritière à Nantes.


Les précautions à prendre

  • L’échange doit obligatoirement passer devant notaire, avec un acte authentique.
  • Les diagnostics immobiliers obligatoires doivent être réalisés pour chaque bien.
  • Une estimation juste des biens est indispensable pour éviter tout redressement fiscal.
  • L’accompagnement par un fiscaliste est recommandé en cas de succession complexe.

Conclusion

L’échange immobilier est bien plus qu’une solution pratique pour changer de logement : il peut devenir un outil d’optimisation fiscale puissant en matière de succession. En réduisant les droits de mutation et en simplifiant la répartition patrimoniale, il répond à une double exigence : transmettre plus intelligemment et payer moins d’impôts.

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