fbpx
Télécharger l'app

Et si vous échangiez votre appart’ de station contre une maison à la campagne ?

Partir régulièrement à la montagne, c’est top, mais parfois on rêve aussi d’espaces verts et de quiétude à l’année. L’échange définitif permet de combiner les deux ! Cas pratiques.

Christelle et Franck ont fait le bon choix

Propriétaires depuis 20 ans d’un joli 3 pièces aux Arcs, Christelle et Franck adoraient s’y ressourcer l’hiver au ski. Mais en vieillissant, le besoin d’espace et de tranquillité se faisait sentir.

« Les étés en station sont vite limités quand on recherche le calme à la campagne. Et on rêve d’un bout de terrain pour le potager et le barbecue ! » raconte Christelle.

Plutôt que de vendre aux prix prohibitifs des stations, le couple a choisi d’échanger leur bien contre une maison avec terrain dans le Beaujolais. Tout en conservant un pied-à-terre de montagne via un système d’échanges récurrents.

Une opération rêvée

Par une plateforme spécialisée, ils cherchent à entrer en contact avec un propriétaire d’une jolie maison d’au moins 120m2 avec un jardin suffisamment.

« Echanger un appartement en station sans trop d’entretien avec une maison à la campagne qui occuperait nos journées, ce serait le rêve!”

S’installer dans le Beaujolais, et louer des appartements en station pour de courtes durées, via la location classique.

Quels avantages y voient-ils ?

“On a tellement peur de vendre et de ne pas trouver notre bonheur qu’on sait que l’échange est la solution. En plus, on peut éviter le prêt relais et faire de belles économies sur les frais de notaire. Cela prendra peut-être un peu plus de temps mais pour une belle affaire on est prêt à attendre un peu plus”. En effet, l’échange leur permettrait de faire des économies sur les frais de notaires pouvant aller jusqu’à 60%. 

Envie, vous aussi, de troquer votre bien de montagne pour réaliser votre rêve de maison à la campagne ? Votre maison de campagne pour une maison en bord de mer?
Les conseils d’un professionnel vous aideront à trouver la perle rare !

À lire aussi

Ces français qui ne cherchent pas forcément plus grand

Lorsqu’on parle de vente immobilière, on a souvent en tête l’idée d’opter automatiquement pour un espace plus spacieux. Mais en pleine crise immobilière, cette croyance est plus que jamais remise en question. Car vendre pour acquérir un logement plus petit ou à taille égale est une réalité de plus en plus courante. Et changer volontairement pour plus petit s’impose comme une nouvelle tendance du marché.

Plus petit, pour une nouvelle étape de vie

De plus en plus de français en transition sont à la recherche de logements plus petits pour redémarrer sur un nouveau pied. Parmi eux, les divorcé.e.s tiennent le haut du pavé. En 2022, plus de 130 000 ménages finissaient par divorcer, un chiffre en constante augmentation. Alors que plus de la moitié des couples sont propriétaires, c’est autant de personnes qui font la part belle aux recherches de biens plus modestes, adaptés aux familles mono-parentale et/ou recomposées.

Dans une moindre mesure parmi les plus de 110 000 nouvelles personnes en surendettement chaque année, plus d’une sur dix est propriétaire de son logement. Une réévaluation de son besoin immobilier pour faire face au besoin de trésorerie peut advenir, et une attention maximale sera portée sur les opportunités de réduction de frais et de charges en cas de transaction.

Changer de cadre de vie, mais pas de budget immobilier

À budget équivalent, chacun peut transformer son cadre de vie en choisissant de déménager plus au vert, plus proche du centre ville, de l’océan, d’un meilleur ensoleillement… Aujourd’hui près de 32% des salariés envisagent une mobilité professionnelle dans les deux ans. Les carrières évoluent, elles se transforment, et le besoin d’agilité immobilière est plus fort que jamais. Se rapprocher de son lieu de travail est une nécessité, surtout pour les 10% d’actifs dont la priorité est de changer de ville ou de région (15% pour les actifs franciliens).

L’immo-sobriété, une solution vers le mieux vivre

Inflation, crise énergétique, crise immobilière, crise environnementale, crise de retraites… l’ostentatoire n’est plus à la mode, et l’accumulation de pièces à vivre ou d’hectares de jardins ne fait plus sens aujourd’hui.

Pour les 720 000 français qui arrivent en retraite chaque année, la voie de la sobriété s’impose comme une évidence. Avec la baisse des revenus induite par la retraite, et après le départ de leurs enfants pour créer leur propre vie, leur maison familiale est devenue bien trop grande pour deux personnes. Ils envisagent plus facilement des projets de voyage ou de maison secondaire et cherchent à réduire le nombre de pièces, le montant de leurs charges ou de leurs impôts. Déménager représente aussi l’opportunité de choisir un cadre de vie plus accessible, plus confortable ou de se rapprocher des enfants et petits-enfants plus mobiles que jamais.

De plus, la vente de leur bien leur permet de soutenir leurs enfants dans leur premier achat immobilier dans un contexte de durcissement du marché et de réduction du pouvoir d’achat.

Un choix de raison donc, comme celui de choisir d’occuper simplement le juste espace nécessaire pour limiter au maximum son impact environnemental. Une solution notamment prônée par Jean-Marc Jancovici, président du Think Tank The Shift Project. Il souligne que 86% des logements occupés par des propriétaires sont en situation de sous-occupation, à savoir qu’ils possèdent plus de pièces nécessaires au logement de ses occupants. La sous-occupation très accentuée (au moins trois pièces de plus par rapport à la situation de référence) est aussi liée à la propriété : parmi les 23,3 % de ménages dans cette situation, plus de 9 sur 10 sont propriétaires.

L’échange immobilier, une réponse d’avenir

Proposer à deux propriétaires d’échanger la propriété de leur biens sans passer par l’achat/vente comporte de nombreux avantages. En réduisant jusqu’à 60% des frais de notaire, la mobilité immobilière devient plus accessible que jamais. Le prêt relais disparaît, les démarches sont simplifiées, et ce marché de l’immobilier alternatif permet de faire se rencontrer les français en recherche d’une surface plus grande, avec ceux qui au contraire envisagent une réduction plus confortable, économique, ou plus en phase avec leurs convictions écologiques.

Voir l'article

Échange immobilier : la méthode simple pour débloquer son projet quand le marché est lent

Quand on cumule visites sans suite et offres trop basses, on finit par douter de tout : du prix, des photos, du timing. Il existe pourtant une voie directe pour reprendre la main sans attendre « l’acheteur parfait » : l’échange immobilier définitif. Deux propriétaires s’accordent, ajustent la soulte si nécessaire, et signent un acte unique. Résultat : moins d’aléas, un calendrier resserré et, souvent, des frais plus doux que deux opérations successives. Voici la méthode pas à pas pour faire bouger les lignes dès maintenant.

Pourquoi l’échange est l’anti-blocage par excellence

  • On sort de la logique “je vends puis j’achète” : l’échange met face à face deux projets compatibles. On ne cherche pas un acheteur, on cherche un duo.
  • Sécurité juridique : l’échange se formalise par un acte authentique unique chez le notaire, avec diagnostics et clauses usuelles.
  • Prévisibilité : calendrier synchronisé, un seul déménagement, moins d’étapes à risque.
  • Coût global potentiellement réduit : selon la configuration, l’échange peut engendrer des économies substantielles de frais par rapport à deux transactions classiques.
  • Négociation constructive : quand les valeurs ne coïncident pas, la soulte équilibre l’opération sans brader son bien.

Le principe, simplement

  1. Publication et critères : vous décrivez votre bien et votre recherche (localisation, surface, étage, extérieur, stationnement, DPE, copro, etc.).
  2. Matching : l’algorithme rapproche les projets et met en avant les compatibilités fortes.
  3. Visites et accord de principe : chaque partie visite, challenge les critères, affine les priorités.
  4. Valorisation & soulte : si les biens n’ont pas la même valeur, une soulte (complément financier) est convenue pour équilibrer.
  5. Acte d’échange : un seul acte notarié scelle l’opération (pièces, diagnostics, conditions suspensives éventuelles).
  6. Remise des clés & emménagement : calendrier synchronisé, logistique simplifiée.

Cas pratique : débloquer un projet en 45 jours

Contexte : Aline possède un T2 à Nantes estimé 230 000 €. Elle vise un T3. De son côté, Marc possède un T3 estimé 265 000 €, devenu trop grand.
Match : Le T3 de Marc convient à Aline ; le T2 d’Aline convient à Marc.
Équilibre : Les parties s’accordent sur une soulte de 35 000 € versée par Aline.
Process : Dossier et diagnostics validés, financement de la soulte calé, signature unique chez le notaire.
Gain concret : un seul déménagement, un calendrier tenu, et un coût global maîtrisé par rapport au schéma « vendre puis acheter ».


Échange vs. vente classique : l’impact opérationnel

SujetVente classique (séquentielle)Échange immobilier (acte unique)
RechercheVendre, puis trouver un achatChercher un DUO compatible
DélaisDépend du nombre d’acheteurs et du créditSynchronisés entre les deux propriétaires
DéménagementParfois deux tempsUn seul déménagement
NégociationPrix au rabais fréquentSoulte pour équilibrer sans brader
JuridiqueCompromis + acte de vente + nouvel achatUn acte d’échange avec les mêmes garanties
CoûtsDeux opérations et frais cumulésFrais potentiellement optimisés selon les cas

Check-list express pour “matcher” vite et bien

  • Dossier carré : titre de propriété, règlement de copropriété, derniers PV d’AG, charges, taxe foncière, diagnostics (dont DPE).
  • Critères hiérarchisés : essentiels (localisation, étage, extérieur) vs négociables (peinture, cuisine à rafraîchir).
  • Valeur réaliste : estimation à jour pour fluidifier la discussion sur la soulte.
  • Financement anticipé : mise au point avec votre banque si vous devez verser ou recevoir une soulte.
  • Calendrier : disponibilité pour visites et signature ; date de remise des clés clairement définie.

Les objections courantes… et comment y répondre

“Je préfère attendre une offre au prix.”
Attendre ne crée pas d’acheteur. L’échange multiplie les scénarios gagnant-gagnant via la soulte, sans passer par une décote brutale.

“C’est compliqué juridiquement.”
Ce n’est pas plus complexe qu’une vente : un acte d’échange chez le notaire, mêmes diagnostics, mêmes protections.

“Et si les valeurs ne tombent pas juste ?”
C’est précisément le rôle de la soulte : ajuster la différence de valeur. On achète l’usage adapté sans sacrifier l’équité.


Guide de conversation pour vos visites d’échange

  • Ouverture : “Qu’est-ce qui vous ferait changer demain ?”
  • Besoins : “Quels sont vos non-négociables (étage, extérieur, école) ?”
  • Projection : “Quelles améliorations accepteriez-vous (peinture, cuisine) ?”
  • Finances : “Êtes-vous à l’aise avec une soulte si les valeurs diffèrent ?”
  • Timing : “Quel calendrier idéal pour vous ?”

Foire aux questions

L’échange est-il légal ?
Oui. Il s’agit d’une vente réciproque formalisée par un acte authentique unique, avec diagnostics et garanties usuelles.

Peut-on échanger avec des valeurs différentes ?
Oui. La soulte équilibre la différence de valeur, convenue entre parties et actée chez le notaire.

Les frais sont-ils vraiment plus faibles ?
Selon les configurations (valeurs, nature des biens, présence d’une soulte), l’échange peut réduire le coût global par rapport à deux transactions successives. Le notaire calcule précisément la fiscalité applicable.

Et si l’un change d’avis ?
Comme pour une vente, l’avant-contrat et l’acte organisent les engagements. L’échange sécurise le calendrier puisque tout se signe de manière coordonnée.


Vous voulez arrêter d’attendre et avancer ? Publiez votre bien et vos critères d’échange dès aujourd’hui. Plus tôt vous entrez dans le matching, plus vite vous trouverez le duo qui débloque votre projet.

Voir l'article

De la maison familiale au pied-à-terre en bord de mer : pourquoi l’échange immobilier séduit les retraités

À l’approche ou au début de la retraite, beaucoup de propriétaires rêvent de changer de cadre de vie. Quitter une maison devenue trop grande pour profiter d’un pied-à-terre en bord de mer est un projet récurrent. L’échange immobilier définitif permet de concrétiser ce rêve sans passer par les lourdeurs d’une vente classique. Découvrons pourquoi cette solution séduit de plus en plus de retraités.

Le rêve d’un nouveau cadre de vie

La retraite est souvent l’occasion de repenser son mode de vie. Après des années consacrées à la vie professionnelle et familiale, nombreux sont les retraités qui souhaitent se rapprocher de la mer ou d’une région ensoleillée. L’idée : troquer une maison familiale, parfois trop grande et coûteuse, contre un appartement ou une petite maison dans une station balnéaire.

Mais réaliser ce changement peut sembler complexe : vendre sa maison, trouver un nouvel acheteur, acheter un nouveau bien, gérer les frais et les délais… L’échange immobilier apporte une réponse simple et directe à ces freins.


Les avantages financiers de l’échange immobilier

Au-delà du rêve de vivre au bord de l’eau, l’échange immobilier définitif offre des avantages économiques non négligeables :

  • Moins de frais de notaire : ils sont calculés uniquement sur la différence de valeur entre les biens, et non sur le prix total.
  • Pas de prêt relais : l’échange est simultané, ce qui évite d’assumer deux logements en même temps.
  • Un projet sécurisé : l’acte est signé chez un notaire, garantissant la même protection qu’une vente classique.

Choisir un logement adapté à sa retraite

Passer de la maison familiale à un appartement en bord de mer, c’est aussi anticiper ses besoins futurs :

  • Accéder à un logement plus petit, plus facile à entretenir,
  • Profiter d’un cadre de vie agréable et stimulant,
  • Se rapprocher des commerces, des transports et des services médicaux,
  • Réduire ses charges et simplifier son quotidien.

Ainsi, l’échange immobilier permet non seulement de réaliser un rêve, mais aussi de préparer une retraite plus confortable et sereine.


Où envisager un pied-à-terre en bord de mer ?

Les retraités privilégient souvent :

  • La côte Atlantique (La Baule, Arcachon, Biarritz),
  • La Méditerranée (Nice, Sète, Toulon),
  • Les petites stations balnéaires familiales, plus abordables mais tout aussi attractives.

Grâce aux plateformes d’échange immobilier comme Béa Immo, il est possible de trouver facilement un propriétaire prêt à échanger son bien pour concrétiser ce nouveau projet de vie.


Conclusion

L’échange immobilier définitif permet aux retraités de donner une nouvelle dimension à leur retraite : quitter la maison familiale pour s’installer au bord de la mer, tout en simplifiant la transaction et en réduisant les frais. Une solution idéale pour transformer un rêve en réalité, sans les contraintes d’une vente traditionnelle.

Voir l'article