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Béa, la startup qui vous permet d’acheter un bien immobilier en divisant vos frais de notaires par deux

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https://www.ibtimes.fr/be-la-startup-qui-vous-permet-dacheter-un-bien-immobilier-en-divisant-vos-frais-de-notaires-par-104513

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Passoires thermiques 2025 : pourquoi l’échange immobilier est une solution

Depuis le 1er janvier 2025, les logements classés G au diagnostic de performance énergétique (DPE) sont interdits à la location. Cette mesure, issue de la loi Climat & Résilience, pousse de nombreux propriétaires à s’interroger sur l’avenir de leur bien. L’échange immobilier définitif apparaît comme une alternative stratégique pour éviter la décote et réaliser une transition fluide.

Le contexte légal

Depuis 2025, un logement classé G au DPE est considéré comme « non décent » et ne peut plus être mis en location. Cette interdiction s’élargira aux classes F en 2028. Les propriétaires concernés doivent soit engager des travaux de rénovation énergétique, soit vendre leur bien.


Les défis pour les propriétaires

  • Décote à la revente : les biens énergivores perdent en valeur sur le marché.
  • Travaux coûteux : la rénovation complète peut atteindre plusieurs dizaines de milliers d’euros.
  • Délais serrés : pour continuer à louer, il faut agir vite.

L’échange immobilier : une alternative gagnante

Éviter la décote

Plutôt que de vendre à perte, un propriétaire peut échanger son bien contre un logement aux normes, en ajoutant une soulte si nécessaire.

Pas de travaux imposés

L’échange permet de se libérer d’un bien énergivore sans supporter le coût ni la gestion des travaux.

Transaction rapide et synchronisée

Comme pour toute opération d’échange définitif, la vente et l’achat se font en une seule étape, sans prêt relais.


Étapes pour échanger une passoire thermique

  1. Évaluer le bien : obtenir un DPE précis et une estimation de valeur.
  2. Trouver un partenaire d’échange via une plateforme comme Bea.immo.
  3. Négocier la soulte en fonction des écarts de valeur et d’efficacité énergétique.
  4. Signer un compromis d’échange chez le notaire.
  5. Finaliser la transaction et emménager.

Témoignage

« Mon appartement classé G ne trouvait pas preneur. Grâce à l’échange, j’ai pu obtenir une maison bien classée, sans subir une énorme perte. » — Claire, Nantes


FAQ

1. Peut-on échanger une passoire thermique contre un bien rénové ?
Oui, avec accord des deux parties et ajustement financier.

2. Faut-il fournir les diagnostics pour un échange ?
Oui, les mêmes obligations qu’une vente s’appliquent.

3. Est-ce intéressant fiscalement ?
Les frais de notaire sont réduits, car calculés sur la soulte.

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Échange immobilier et rendement locatif : comparer les prix d’achat à Paris pour arbitrer un échange locatif vs vente + réinvestissement

À Paris, chaque dixième de point de rendement compte. Dans un marché où les prix sont élevés et la fiscalité encadrée, l’échange immobilier définitif offre un levier méconnu : abaisser le coût d’acquisition (frais inclus) et viser une localisation plus liquide, donc louable plus vite et plus cher. Faut-il privilégier un échange locatif (j’échange mon bien contre un mieux placé pour louer) ou vendre + réinvestir ? Voici une méthode claire, des repères parisiens et un comparatif chiffré pour décider en connaissance de cause.

Pourquoi le prix d’achat efficace dicte (presque) tout votre rendement

Le rendement locatif brut se calcule classiquement ainsi :
Loyers annuels / (Prix d’achat + frais d’acquisition + travaux) × 100.
À Paris, l’écart de rendement entre deux quartiers tient souvent à deux variables corrélées : le loyer possible (tension locative, attractivité, réglementation) et le coût d’entrée (prix + frais). L’échange immobilier agit précisément sur ces deux leviers :

  • des frais d’acte potentiellement réduits par rapport à une double opération vente + achat,
  • la possibilité de viser un micro-marché plus locatif à budget équivalent (ou avec soulte maîtrisée).

Paris : 3 réalités à intégrer avant de comparer

  • Marché demeuré tendu : Paris reste une zone très liquide, avec des mouvements de prix récents modestes et hétérogènes selon quartiers. Un arbitrage fin par micro-secteur est indispensable.
  • Réglementation énergétique : depuis le 1er janvier 2025, les logements classés G ne sont plus louables (non-décents). Sur un actif parisien, la capacité à louer dépend donc du DPE : anticiper le coût des travaux ou cibler un bien déjà performant améliore le rendement net.
  • Financement : en 2025, le PTZ a été élargi aux logements neufs (jusqu’à fin 2027). Si vous réinvestissez dans le neuf pour louer, cela peut réduire votre coût global du capital.

Échange locatif vs vente + réinvestissement : la bonne méthode de décision

  1. Évaluer la demande locative micro-locale
    • Taux de vacance, délai de remise en location, cible (étudiants, jeunes actifs, cadres).
    • Règles locales (encadrement, meublé vs nu, DPE).
  2. Comparer le prix d’achat efficace (PAE)
    • Échange locatif : valeur du bien cible ± soulte + frais d’échange.
    • Vente + réinvestissement : nouveaux frais d’achat + frais de vente (agence, éventuels travaux, portage entre deux opérations).
  3. Projeter les loyers réalistes
    • Loyers de marché (référence d’encadrement + prime de localisation + état/DPE).
  4. Simuler le rendement brut et net
    • Brut : loyers annuels / PAE.
    • Net : intégrer charges non récupérables, taxe foncière, assurance, vacance, travaux DPE, régime fiscal (nu / LMNP).
  5. Mesurer le risque opérationnel
    • Chaîne d’enchaînement (éviter le prêt relais), délai d’exécution, sensibilité au DPE, liquidité de revente.

Ce que change l’échange immobilier côté frais

Dans une vente + achat classique, vous payez en général une fois des frais de vente implicites (commission d’agence le cas échéant) et une fois des frais d’acquisition (droits + émoluments + débours) sur le nouveau bien.
Dans un échange définitif, il n’y a qu’un acte d’échange chez le notaire, avec une base de calcul spécifique ; dans bien des cas, les frais totaux sont inférieurs à l’addition vente + achat, ce qui améliore mécaniquement le rendement via un PAE plus bas.


Comparatif chiffré simplifié (Paris intra-muros)

Hypothèses pédagogiques (à adapter à votre dossier) :
– Loyer de marché réaliste ;
– Pas de travaux lourds hors mise à niveau DPE si nécessaire ;
– Fiscalité non traitée ici pour rester lisible (à moduler selon votre régime et votre TMI).
Les chiffres ci-dessous servent d’illustration pour comparer deux stratégies, pas de cote officielle.

Scénario A — Échange locatif

  • Bien actuel : 2 pièces dans un secteur à loyer moyen.
  • Bien cible : 2 pièces dans un quartier plus tendu (métro, commerces, demandes étudiantes), même surface, légère soulte.
  • Frais d’échange : calculés sur la base spécifique de l’acte d’échange (inférieurs à l’addition d’une vente + un achat dans notre exemple).

Scénario B — Vente + réinvestissement

  • Vente du bien actuel (commission potentielle) puis achat d’un bien dans le quartier plus tendu.
  • Frais : frais d’acquisition classiques sur l’achat + coûts de transaction liés à la vente.
ElémentScénario A – ÉchangeScénario B – Vente + Réinvestissement
Loyers annuels attendus (quartier cible)élevé (quartier plus liquide)élevé (même quartier)
Coût d’entrée total (PAE)plus faible (1 acte d’échange + soulte)plus élevé (frais d’achat + commission de vente éventuelle)
Rendement brut (Loyers/PAE)plus élevé à hypothèses de loyer identiquesplus bas à l’entrée
Délais/opérationnelsynchronisé (évite le prêt relais)séquentiel (risque d’intervalle)
Sensibilité DPEà contrôler sur le bien cibleà contrôler sur le bien cible

Lecture : si le loyer attendu est le même dans les deux scénarios, l’échange gagne sur le rendement brut uniquement parce que le PAE est inférieur. Si la localisation cible permet un loyer légèrement supérieur (quartier à forte demande), l’écart de rendement se creuse encore.


Micro-marchés parisiens : comment capter 0,3 à 0,6 point de rendement

À Paris, le rendement brut se joue souvent sur des écarts de loyer de 25 à 60 €/mois sur un 2 pièces selon la desserte, l’étage, l’état et le DPE, pour un capital engagé quasi identique : c’est là que l’échange prend tout son sens. Cibler un immeuble bien tenu, une rue calme à 3 minutes d’une ligne structurante, et un DPE D ou E plutôt que F/G peut suffire à gagner quelques dixièmes sans augmenter le budget global.


Check-list express avant d’arbitrer

  • DPE & travaux : si le bien cible est F ou G, chiffrer le coût de mise à niveau avant de signer. À Paris, cela conditionne la mise en location dès maintenant pour les G.
  • Encadrement des loyers : simuler le loyer de référence majoré à l’adresse précise et choisir le type de bail (meublé souvent plus agile).
  • Vacance locative : interroger la rotation locative du micro-quartier (métro, universités, bassins d’emplois).
  • Frais d’acte : faire chiffrer l’acte d’échange par le notaire et comparer à l’addition vente + achat.
  • Synchronisation : viser un échange simultané pour éviter prêt relais et double portage.
  • Sortie : vérifier la liquidité de revente du bien cible à 5-7 ans.

Cas pratique guidé (gabarit de calcul à reproduire)

Remplacez chaque case par vos montants.

1) Estimation loyers annuels
Loyer mensuel [€] × 12 = Loyers annuels [€]

2) Coût d’entrée (PAE)

  • Échange locatif : valeur bien cible ± soulte + frais d’échange = PAE-Échange
  • Vente + réinvestissement : frais d’achat + commission de vente + frais annexes = PAE-Vente/Réinv.

3) Rendement brut

  • Rendement-Échange = Loyers annuels / PAE-Échange
  • Rendement-Vente/Réinv. = Loyers annuels / PAE-Vente/Réinv.
    Comparer les deux : si PAE-Échange < PAE-Vente/Réinv., l’échange a mécaniquement l’avantage, à loyer égal.

4) Ajustements

  • DPE (travaux) → ajoutez au PAE si à votre charge.
  • Vacance (x semaines/an) → retranchez pro-rata aux loyers annuels.
  • Charges non récupérables, assurance, taxe foncière → soustrayez pour obtenir le net.

Conclusion Béa

Dans un Paris exigeant, l’échange locatif est souvent le raccourci le plus efficace pour améliorer votre rendement : moins de frais d’entrée, une cible mieux placée, une exécution synchronisée. La clé, c’est le prix d’achat efficace : faites-le baisser grâce à l’échange, et votre rendement monte, même si le loyer facial bouge peu. Nos facilitateurs vous accompagnent pour chiffrer, comparer et exécuter votre arbitrage en toute sécurité.

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Acheter ou vendre un appartement à Paris : chronique d’un marché unique au monde

Paris. Ses toits en zinc, ses cafés de quartier, et… ses prix immobiliers qui font tourner les têtes. Qu’on veuille vendre son cocon haussmannien ou dénicher un deux-pièces avec vue sur la Seine, la capitale exige stratégie, patience… et un brin d’audace. Et si, au lieu de vendre et acheter séparément, vous envisagiez l’échange immobilier définitif pour gagner du temps et économiser gros ?

Paris, le théâtre d’un marché à part

Il y a Paris… et le reste de la France. Ici, chaque arrondissement a son rythme, ses codes et ses amateurs. Les prix varient du simple au triple entre un 3 pièces à Belleville et un duplex avenue Foch.
En 2025, malgré un ralentissement général, le marché parisien reste actif : les prix ont légèrement remonté (+0,2 %), mais les acheteurs négocient davantage et les délais peuvent s’allonger.


Acheter à Paris : mission coup de cœur (et calculatrice)

Les questions à se poser avant de se lancer

  • Quel budget ?
    Le prix moyen au m² tourne autour de 10 000 €, mais dépasse 15 000 € dans les quartiers très prisés (6e, 7e, 8e).
  • Neuf ou ancien ?
    L’ancien a le charme et la diversité, le neuf rassure côté performance énergétique et frais de notaire réduits.
  • Quartiers en vue :
    • Belleville : bouillonnant, encore accessible pour Paris.
    • Batignolles : ambiance village, apprécié des familles.
    • Picpus et Nation : bon rapport qualité/prix.
    • Neuilly (limitrophe) : standing et calme, mais tarifs élevés.

Vendre à Paris : raconter l’histoire de son appartement

Vendre un appartement à Paris, c’est presque comme vendre un roman : il faut captiver. Les acheteurs ne viennent pas seulement chercher des m², ils veulent un mode de vie.

Les clés d’une vente réussie :
Estimer au juste prix en s’appuyant sur les prix par arrondissement.
Mettre en valeur : lumière, mobilier, balcon fleuri.
Annoncer efficacement : quartier, transports, atouts différenciants (vue sur Tour Eiffel, immeuble art déco).
Anticiper la partie légale : diagnostics, règlement de copropriété, charges.


Et si l’échange immobilier était la carte maîtresse à Paris ?

Sur un marché tendu et coûteux comme Paris, l’échange immobilier définitif offre une alternative redoutablement efficace :

  • Un seul acte notarié au lieu de deux ventes séparées.
  • Des frais de notaire calculés différemment : 1 % sur le bien le plus cher, 5 % sur le moins cher, 6,3 % sur la soulte.
  • Jusqu’à 60 % d’économies par rapport à une vente/achat classique.
  • Un gain de temps : pas besoin d’attendre de vendre pour acheter, tout se fait simultanément.

Exemple concret :
Vous échangez votre appartement à Belleville (400 000 €) contre un 3 pièces aux Batignolles (550 000 €).

  • Frais classiques : env. 72 000 € au total.
  • Frais en échange : env. 32 000 € (répartis entre les deux parties).
    Économie : près de 40 000 €.

Dans une ville où chaque mois compte et chaque euro pèse, cet écart peut faire la différence entre un projet réalisable et une opportunité manquée.


Budget et financement à Paris

  • Frais de notaire : 7 à 8 % dans l’ancien, 2 à 3 % dans le neuf… et bien moins en échange immobilier.
  • Taux de crédit : autour de 3 % en août 2025, avec apport recommandé.
  • Charges de copropriété : à surveiller, surtout dans les immeubles avec services.

Anecdotes du marché parisien

  • Le studio parti en 48 h : Quartier Latin, prix cohérent, vue dégagée, trois visites, une offre au prix.
  • Le 4 pièces qui patine : surévalué dans le Marais, perd 150 000 € après 9 mois.
  • L’échange malin : une famille du 15e échange son 2 pièces contre un 4 pièces à Nation, économisant plus de 20 000 € de frais et évitant un prêt relais.

Conclusion : Paris ne se vend pas, il se raconte… et parfois il s’échange

Acheter ou vendre un appartement à Paris, c’est entrer dans un marché exigeant mais plein de possibilités.
Pour certains, l’échange immobilier définitif devient l’arme secrète : moins de frais, moins d’attente, plus de sérénité. Et quand on parle d’immobilier parisien, ce genre d’avantage n’a pas de prix.

FAQ – Acheter, vendre ou échanger un appartement à Paris

Quel est le prix moyen d’un appartement à Paris en 2025 ?

En août 2025, le prix moyen est d’environ 10 000 € au m², avec des variations importantes : 7 500 € dans certains quartiers de l’Est, plus de 15 000 € dans les secteurs prestigieux.

Quels sont les quartiers les plus recherchés pour acheter à Paris ?

Les Batignolles séduisent les familles, Belleville attire les jeunes actifs, et le 6e arrondissement reste incontournable pour son charme et ses commerces.

Qu’est-ce que l’échange immobilier définitif ?

C’est un acte notarié unique dans lequel deux propriétaires échangent leurs biens, avec éventuellement une soulte si l’un des biens a plus de valeur.

Pourquoi l’échange immobilier est-il avantageux à Paris ?

Frais réduits (jusqu’à 60 % d’économies), gain de temps, et possibilité d’éviter un prêt relais. Les frais se calculent sur le bien le plus cher, le moins cher, et la soulte.

Peut-on échanger un appartement à Paris avec un crédit en cours ?

Oui, sous réserve de l’accord de la banque, qui peut accepter un transfert du prêt ou demander un remboursement anticipé.

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