fbpx
Télécharger l'app

Les 10 astuces pour prendre les meilleures photos de votre appartement pour le mettre en vente

Vous envisagez de vendre votre appartement ? Des photos de qualité peuvent considérablement augmenter vos chances de trouver rapidement un acheteur. Voici les 10 meilleures astuces pour prendre de superbes photos de votre bien immobilier avec votre téléphone.

1. Préparez votre appartement

Avant de prendre des photos, assurez-vous que votre appartement est propre et bien rangé. Débarrassez-vous des objets personnels et désencombrez les espaces pour donner une impression de grandeur et de clarté.

2. Utilisez la lumière naturelle

La lumière naturelle est votre meilleure alliée pour des photos réussies. Ouvrez les rideaux et les volets pour laisser entrer autant de lumière que possible. Évitez de prendre des photos lorsque la lumière est trop forte ou trop faible.

3. Prenez des photos depuis les coins de la pièce

Prendre des photos depuis les coins de la pièce permet de capturer un maximum d’espace et de montrer la configuration de la pièce. Cela donne également une meilleure perspective de la taille et de la disposition des meubles.

4. Ne négligez pas les détails

En plus des photos générales des pièces, prenez quelques clichés de détails intéressants ou uniques de votre appartement. Cela peut inclure des éléments de décoration, des matériaux de qualité ou des équipements modernes.

5. Évitez les filtres excessifs

Il peut être tentant d’utiliser des filtres pour embellir vos photos, mais cela peut donner un résultat artificiel. Privilégiez des ajustements légers pour améliorer la luminosité, le contraste et la saturation sans dénaturer l’image.

6. Prenez plusieurs photos

N’hésitez pas à prendre plusieurs photos de chaque pièce sous différents angles. Vous pourrez ensuite sélectionner les meilleures images pour votre annonce. Plus vous avez de photos, plus vous augmentez vos chances de capter l’attention des acheteurs.

7. Utilisez un objectif propre

Assurez-vous que l’objectif de votre téléphone est propre avant de prendre des photos. Un objectif sale peut rendre les images floues ou ternes. Un simple coup de chiffon peut faire toute la différence.

8. Capturez les meilleures heures de la journée

Les meilleures heures pour prendre des photos sont généralement le matin ou en fin d’après-midi lorsque la lumière est douce et diffuse. Évitez les heures où la lumière est trop forte pour éviter les ombres dures.

9. Mettez en valeur les points forts

Identifiez les points forts de chaque pièce et mettez-les en valeur dans vos photos. Que ce soit une vue imprenable, une cheminée accueillante ou un espace de rangement bien organisé, montrez ce qui rend votre appartement unique.

10. Ajoutez des touches de vie

Ajoutez quelques éléments vivants comme des plantes, des fleurs ou des coussins colorés pour rendre les photos plus attrayantes. Ces petites touches peuvent faire ressortir la chaleur et l’accueil de votre espace.

Conclusion

En suivant ces 10 astuces, vous serez en mesure de prendre de superbes photos de votre appartement avec votre téléphone. Des photos de qualité peuvent faire toute la différence dans la vente de votre bien immobilier. Préparez votre appartement, sortez votre téléphone et montrez-le sous son meilleur jour !

Pour plus de conseils sur la vente de biens immobiliers, n’hésitez pas à consulter notre blog. Bonne chance dans la vente de votre appartement !

À lire aussi

Les quartiers parisiens les plus recherchés pour un échange immobilier en 2025

En 2025, le marché immobilier parisien reste sous pression dans certains quartiers emblématiques. Le Marais, Montmartre, le 16ᵉ ou encore les Batignolles attirent toujours autant… mais acheter y reste complexe. L’échange immobilier définitif devient alors une alternative de plus en plus prisée. Zoom sur les secteurs les plus recherchés, et les budgets à prévoir.


Pourquoi ces quartiers sont-ils en tension ?

Malgré une stabilisation des prix à Paris en 2025 (+0,2 % au 1er semestre), certains arrondissements continuent de cristalliser toutes les attentions des acquéreurs… et donc des échangeurs. Leurs atouts ? Cadre de vie, patrimoine, transports, écoles, commerces. Mais la rareté de l’offre pousse de plus en plus de propriétaires à passer par l’échange plutôt que par une vente longue et incertaine.


Le Marais (3ᵉ et 4ᵉ arrondissements)

Profil recherché : T2/T3 lumineux avec cachet de l’ancien, poutres, cheminées, au 3ᵉ étage minimum. Souvent troqué contre une maison ou un grand appartement en proche banlieue chic (Le Vésinet, Sceaux).

Prix moyen en 2025 :

13 800 €/m² – soit 966 000 € pour un 70 m²

Tension du marché : Extrême. L’offre est limitée, la demande stable mais très qualifiée. L’échange permet de sécuriser l’opération entre propriétaires.


Montmartre (18ᵉ arrondissement – secteur Lamarck/Caulaincourt)

Profil recherché : Duplex, dernier étage avec vue, petites surfaces bien agencées avec charme. Échange fréquent contre maison de caractère en grande couronne (Fontainebleau, Rambouillet).

Prix moyen en 2025 :

11 400 €/m² – soit 684 000 € pour un 60 m²

Tension du marché : Forte. Quartier recherché par des profils artistiques ou internationaux. L’échange offre une fluidité bienvenue.


16ᵉ arrondissement (Passy, La Muette, Jasmin)

Profil recherché : Grands appartements familiaux avec balcon, proche écoles bilingues, étage élevé avec ascenseur. Souvent échangés contre maisons avec jardin dans les Hauts-de-Seine.

Prix moyen en 2025 :

11 600 €/m² – soit 1 160 000 € pour un 100 m²

Tension du marché : Forte. Peu de mobilité dans le parc privé. L’échange entre familles permet des ajustements personnalisés (soulte, délai de libération…).


Batignolles et Martin Luther King (17ᵉ arrondissement)

Profil recherché : T3-T4 moderne avec espace extérieur. Nombreux échanges contre maisons contemporaines à Colombes, Asnières, Saint-Ouen.

Prix moyen en 2025 :

10 900 €/m² – soit 763 000 € pour un 70 m²

Tension du marché : Croissante. Le quartier attire les jeunes actifs avec enfants. L’échange est souvent une solution pour gagner en surface sans perte de confort.


Autres quartiers très demandés en 2025

QuartierPrix moyen au m²Typologie recherchéeType de bien échangé contre
Canal Saint-Martin (10e)11 800 €Loft, T2 refait à neufMaison à Montreuil ou Romainville
Alésia (14e)10 700 €T3 lumineux avec vue dégagéeMaison avec jardin dans le 94
Nation (11e/12e)10 900 €T2/T3 avec balconMaison de ville dans le Val-de-Marne
Saint-Paul (4e)13 600 €Duplex atypiqueMaison ancienne à Meudon

L’échange immobilier : une réponse aux blocages du marché

Dans ces arrondissements en tension, l’échange permet :

  • Un accès direct à un bien très convoité
  • Une économie sur les frais de notaire (comparé à un double acte)
  • Une simultanéité vente/achat qui sécurise la transaction
  • Une meilleure adaptation entre particuliers sans passer par le marché libre

Conseils pratiques pour réussir son échange

  • Faites estimer votre bien à sa juste valeur (plateforme comme Béa Immo)
  • Renseignez-vous sur les soultes possibles : elles permettent d’équilibrer des écarts de valeur
  • Préparez votre dossier avec votre notaire en amont : diagnostics, titre de propriété, prêt éventuel

FAQ – Quartiers recherchés pour échange à Paris

Puis-je échanger mon bien si sa valeur est inférieure à celui que je souhaite ?
Oui, à condition de verser une soulte compensatoire.

Les prix sont-ils négociables dans un échange ?
Moins qu’en vente classique. L’équilibre global prime sur la négociation pure.

Peut-on échanger un bien dans un arrondissement “moins coté” contre un bien dans un quartier recherché ?
Oui, mais il faudra souvent ajouter une soulte ou proposer un bien avec des prestations supérieures.

Voir l'article

L’échange immobilier : un levier méconnu pour optimiser la fiscalité des successions

En France, la transmission d’un patrimoine immobilier s’accompagne souvent d’une fiscalité lourde, en particulier lorsque les biens sont nombreux ou mal répartis entre héritiers. Pourtant, une solution méconnue existe : l’échange immobilier définitif. Au-delà de l’avantage pratique, il peut aussi représenter un outil stratégique pour optimiser les droits de succession. Décryptage.

L’échange immobilier : une alternative à la vente classique

L’échange immobilier consiste à céder un bien contre un autre, entre particuliers ou au sein d’une famille, avec ou sans soulte. Contrairement à une vente classique suivie d’un rachat, l’échange réduit les frais liés aux droits de mutation, puisqu’ils ne s’appliquent que sur la différence de valeur entre les biens échangés.

Dans le cadre d’une succession, cet outil juridique est particulièrement intéressant pour :

  • Rééquilibrer la répartition entre héritiers.
  • Simplifier la gestion d’un patrimoine familial dispersé.
  • Réduire les coûts fiscaux liés à la mutation des biens.

Transmission patrimoniale : un casse-tête fiscal

Lorsqu’un bien immobilier est transmis, les héritiers doivent s’acquitter de droits de succession calculés sur la valeur vénale du bien au jour du décès. Plus le patrimoine est important, plus la facture fiscale est lourde.
À titre d’exemple, au-delà de 552 324 € transmis par parent et par enfant, le taux marginal atteint 45 %.

Dans ce contexte, multiplier les ventes puis rachats peut rapidement générer des frais de notaire et des impôts élevés. C’est ici que l’échange immobilier se distingue comme une voie de rationalisation fiscale.


Comment l’échange immobilier optimise-t-il la succession ?

  • Moins de droits de mutation : dans un échange, la taxation ne s’applique que sur la différence de valeur (la soulte), et non sur la totalité du bien.
  • Répartition simplifiée entre héritiers : un héritier peut échanger une maison contre un appartement pour équilibrer les lots, évitant ainsi une indivision source de conflits.
  • Anticipation successorale : des parents peuvent organiser l’échange de biens entre leurs enfants de leur vivant, réduisant ainsi la valeur taxable de la succession.
  • Transmission progressive : l’échange peut s’intégrer dans une stratégie de donation-partage, permettant d’éviter des déséquilibres au moment de la succession.

Exemple concret

Imaginons deux frères héritant d’une maison en Bretagne et d’un appartement à Nantes.

  • Valeur maison : 400 000 €
  • Valeur appartement : 380 000 €

Plutôt que de vendre et racheter, ils peuvent échanger les biens, avec une soulte de 20 000 € pour compenser.
👉 Résultat :

  • Les droits de mutation ne s’appliquent que sur 20 000 € (et non sur 780 000 €).
  • Les frais de notaire sont largement réduits.
  • Chaque frère repart avec un bien distinct, évitant l’indivision.

Témoignage

"Nous avons choisi l’échange immobilier pour régler la succession familiale. Au lieu de vendre les biens et payer des frais énormes, nous avons organisé un échange. Cela nous a permis d’économiser plusieurs dizaines de milliers d’euros et d’éviter des conflits entre frères et sœurs." — Claire, héritière à Nantes.


Les précautions à prendre

  • L’échange doit obligatoirement passer devant notaire, avec un acte authentique.
  • Les diagnostics immobiliers obligatoires doivent être réalisés pour chaque bien.
  • Une estimation juste des biens est indispensable pour éviter tout redressement fiscal.
  • L’accompagnement par un fiscaliste est recommandé en cas de succession complexe.

Conclusion

L’échange immobilier est bien plus qu’une solution pratique pour changer de logement : il peut devenir un outil d’optimisation fiscale puissant en matière de succession. En réduisant les droits de mutation et en simplifiant la répartition patrimoniale, il répond à une double exigence : transmettre plus intelligemment et payer moins d’impôts.

Voir l'article

Guide pratique : réussir sa vente dans un marché sélectif

En 2025, les acquéreurs comparent, négocient et tranchent vite. Dans ce contexte sélectif, une vente réussie repose sur trois piliers : un prix juste, une présentation irréprochable et un dossier technique complet. Voici la méthode Béa Immo pour réduire le délai de vente, sécuriser la transaction et défendre votre prix.

Pourquoi « juste prix » = délai de vente raccourci

Fixer un prix réaliste est l’arme la plus efficace pour déclencher des visites qualifiées et éviter les « refroidissements » d’annonce. Les biens affichés au juste prix partent nettement plus vite que ceux surévalués : comptez un délai de l’ordre de quelques semaines pour les premiers, là où une surestimation peut doubler le temps de commercialisation. Les acheteurs d’aujourd’hui suivent les historiques d’annonces, repèrent les baisses et interprètent un allongement du délai comme un signal de faiblesse. Résultat : plus on attend, plus on négocie.
À retenir : lancer au prix juste maximise l’audience des 3 premières semaines, celles qui font la vente.

Méthode express pour bâtir votre prix cible

  • Comparer des références vendues, pas seulement affichées : actes notariés récents dans votre commune/quartier, typologie, surface Carrez/habitable, étage, extérieur, stationnement, état/décoration, DPE.
  • Ajuster par critères différenciants : vue, calme, luminosité, travaux à prévoir, ascenseur, plan pratique, charges, fiscalité locale.
  • Intégrer la « friction énergétique » : une étiquette DPE défavorable pèse sur la valeur si des travaux importants sont à mener. Préparez un scénario de rénovation (budget/économies d’énergie) pour rassurer.

Mise en valeur : faire briller sans surinvestir

Votre logement doit « raconter une histoire » en moins de 30 secondes. Objectif : neutralité chaleureuse, circulation fluide et photo qui capte la lumière.

Check-list Home Staging intelligente

  • Désencombrer & dépersonnaliser : 30 % d’objets en moins = pièces visuellement plus grandes.
  • Réparations minute : joints, poignées, plinthes, ampoules, portes qui grincent.
  • Couleurs : murs clairs, une teinte d’accent douce, pas d’effets datés.
  • Cuisine & SDB : quincaillerie et luminaires neufs, crédence et joints propres. Une mise à jour légère évite au visiteur de « chiffrer » des travaux.
  • Lumière : multiplier les points lumineux, miroirs face aux ouvertures, photos prises en « heure dorée ».
  • Extérieurs : balcon/terrasse prêts à l’usage (table, plantes saines).

Photos & annonce

  • Série de 12–20 photos hiérarchisées (façade, pièce de vie, cuisine, SDB, chambres, extérieur, plan).
  • Plan coté clair et téléchargeable.
  • Accroche orientée bénéfices : « Triple exposition et vue dégagée », « Pas de perte de place, rangements sur mesure », « Charges maîtrisées ».
  • Transparence : mentionner les points perfectibles + pistes de solution (devis ou estimation de travaux), vous gagnez en crédibilité.

Dossier technique : les diagnostics qui sécurisent la vente

Un dossier complet dès la mise en ligne évite les « re-tris » de dernière minute, renforce la confiance et fluidifie la signature du compromis.

Le socle obligatoire (vente de maison ou d’appartement)

  • DPE (Diagnostic de performance énergétique) et étiquette.
  • Amiante (selon année), Plomb/CREP (avant 1949), Électricité et Gaz (installations > 15 ans).
  • Termites (zones concernées), ERP (Risques et pollutions, incluant le bruit si zone aéroportuaire).
  • Assainissement non collectif (si non raccordé au tout-à-l’égout).
  • Mesurage Carrez (lots de copropriété).
    Les obligations varient selon le bien et la zone, et certaines durées de validité sont courtes (ex. ERP ou termites : 6 mois). Anticiper évite de devoir « repasser » des diagnostics en pleine négociation.

Audit énergétique : quand est-il requis ?

Depuis le 1er avril 2023, un audit énergétique est obligatoire pour la vente des maisons (et immeubles en monopropriété) classées F ou G. À compter du 1er janvier 2025, l’obligation s’étend aux maisons classées E. L’audit propose des scénarios de travaux chiffrés et planifiés : un formidable support de négociation pour défendre votre prix malgré une étiquette « exigeante ».

Budget indicatif des principaux diagnostics

Les tarifs dépendent de la surface, de l’ancienneté et de la localisation. À titre indicatif :

  • DPE : 90–200 €
  • Amiante : 80–150 €
  • Plomb : 130–300 €
  • Électricité : 90–160 €
  • Gaz : 90–150 €
  • Carrez : 60–150 €
  • Termites (si applicable) : 70–150 €
  • ERP : souvent intégré/forfaitisé
    Ces ordres de grandeur vous aident à budgéter la mise en vente sans surprise.

Astuce Béa Immo : mettez en avant, dans l’annonce, une timeline claire de votre dossier (« Diagnostics réalisés en septembre 2025 – Audit énergétique disponible – Dernier entretien chaudière : 2024 »). C’est un signal de sérieux qui rassure immédiatement.


Stratégie de commercialisation : capter les bons acheteurs, vite

  • Fenêtre de lancement : publier un jeudi pour maximiser le trafic du week-end ; relance réseaux sociaux le dimanche soir.
  • Filtrage intelligent : un questionnaire avant visite (financement, délai, critères non négociables) économise du temps et évite les décrochages.
  • Preuve de solvabilité : solliciter une attestation de capacité d’emprunt en amont des offres ferme le robinet aux propositions « à risque ».
  • Data locale : tenez un registre des visites (profil, retours, objections). Deux objections récurrentes = opportunité d’ajustement (prix/présentation).

Négociation & sécurisation : conserver l’initiative

  • Ancrer votre prix : justifiez-le par 3–5 références vendues + votre audit/travaux + les points différenciants.
  • Encadrer les conditions suspensives : délais de prêt cohérents (45 jours souvent suffisent si dossier complet), sélectivité sur les clauses paralysantes.
  • Temporalité : dans un marché sélectif, la meilleure offre n’est pas toujours la plus haute, mais la plus sûre (apport, calendrier, notaire déjà choisi, financement validé).

Mini-FAQ vendeur

Dois-je baisser si je n’ai pas d’offre sous 3 semaines ?
Regardez d’abord les signaux faibles : nombre de vues, taux de clic, volume de visites réelles, retours terrain. Si l’annonce est bien exposée et le dossier nickel, une micro-baisse (–2 à –3 %) peut suffire à relancer l’algorithme et capter un nouveau public.

Mon DPE est E/F : suis-je condamné à brader ?
Non. Un audit sérieux + devis encadrés repositionnent la perception de valeur. Proposez un scenario de rénovation chiffré (temps/économie d’énergie) et intégrez-le à la négociation.

Faut-il accepter la 1re offre ?
Si elle est au prix, sans condition exotique et avec preuve de solvabilité, c’est souvent la meilleure. L’allongement du délai de vente renforce le pouvoir de négociation des acquéreurs.


Conclusion Béa Immo

Dans un marché exigeant, la méthode fait la différence. Un prix juste, une mise en scène soignée et un dossier technique irréprochable permettent de vendre plus vite et mieux. Nos équipes vous accompagnent de l’estimation au compromis, en intégrant l’audit énergétique et la valorisation de votre bien pour défendre au mieux votre prix.

Voir l'article