Les 10 astuces pour prendre les meilleures photos de votre appartement pour le mettre en vente
Vous envisagez de vendre votre appartement ? Des photos de qualité peuvent considérablement augmenter vos chances de trouver rapidement un acheteur. Voici les 10 meilleures astuces pour prendre de superbes photos de votre bien immobilier avec votre téléphone.
1. Préparez votre appartement
Avant de prendre des photos, assurez-vous que votre appartement est propre et bien rangé. Débarrassez-vous des objets personnels et désencombrez les espaces pour donner une impression de grandeur et de clarté.
2. Utilisez la lumière naturelle
La lumière naturelle est votre meilleure alliée pour des photos réussies. Ouvrez les rideaux et les volets pour laisser entrer autant de lumière que possible. Évitez de prendre des photos lorsque la lumière est trop forte ou trop faible.
3. Prenez des photos depuis les coins de la pièce
Prendre des photos depuis les coins de la pièce permet de capturer un maximum d’espace et de montrer la configuration de la pièce. Cela donne également une meilleure perspective de la taille et de la disposition des meubles.
4. Ne négligez pas les détails
En plus des photos générales des pièces, prenez quelques clichés de détails intéressants ou uniques de votre appartement. Cela peut inclure des éléments de décoration, des matériaux de qualité ou des équipements modernes.
5. Évitez les filtres excessifs
Il peut être tentant d’utiliser des filtres pour embellir vos photos, mais cela peut donner un résultat artificiel. Privilégiez des ajustements légers pour améliorer la luminosité, le contraste et la saturation sans dénaturer l’image.
6. Prenez plusieurs photos
N’hésitez pas à prendre plusieurs photos de chaque pièce sous différents angles. Vous pourrez ensuite sélectionner les meilleures images pour votre annonce. Plus vous avez de photos, plus vous augmentez vos chances de capter l’attention des acheteurs.
7. Utilisez un objectif propre
Assurez-vous que l’objectif de votre téléphone est propre avant de prendre des photos. Un objectif sale peut rendre les images floues ou ternes. Un simple coup de chiffon peut faire toute la différence.
8. Capturez les meilleures heures de la journée
Les meilleures heures pour prendre des photos sont généralement le matin ou en fin d’après-midi lorsque la lumière est douce et diffuse. Évitez les heures où la lumière est trop forte pour éviter les ombres dures.
9. Mettez en valeur les points forts
Identifiez les points forts de chaque pièce et mettez-les en valeur dans vos photos. Que ce soit une vue imprenable, une cheminée accueillante ou un espace de rangement bien organisé, montrez ce qui rend votre appartement unique.
10. Ajoutez des touches de vie
Ajoutez quelques éléments vivants comme des plantes, des fleurs ou des coussins colorés pour rendre les photos plus attrayantes. Ces petites touches peuvent faire ressortir la chaleur et l’accueil de votre espace.
Conclusion
En suivant ces 10 astuces, vous serez en mesure de prendre de superbes photos de votre appartement avec votre téléphone. Des photos de qualité peuvent faire toute la différence dans la vente de votre bien immobilier. Préparez votre appartement, sortez votre téléphone et montrez-le sous son meilleur jour !
Pour plus de conseils sur la vente de biens immobiliers, n’hésitez pas à consulter notre blog. Bonne chance dans la vente de votre appartement !
Cette déclaration peut sembler surprenante, mais la réalité est que de nombreuses agences immobilières utilisent des grilles tarifaires qui manquent souvent de cohérence. Si le prix de vente de votre appartement se situe à proximité d’un palier de commission, c’est le moment d’être attentif. Laissez-nous vous expliquer.
Les grilles de commissions des agences immobilières sont généralement structurées par palier, comme suit : De 0 à 100 000 €, l’agence prélève une commission de 10%. De 100 000 € à 300 000 €, la commission passe à 9%. Entre 300 000 € et 450 000 €, elle est réduite à 8%. Etc. Au-delà de 1 million d’euros, la commission est fixée à 5%.
Prenons l’exemple du palier à 300 000 € dans notre illustration, et examinons les différences entre les prix nets pour le vendeur et les prix incluant les frais d’agence dans deux scénarios distincts : 1er cas : Lorsque l’appartement est estimé à 299 000 € : Le prix net pour le vendeur s’élève à 299 000 €, mais avec la commission de l’agence, il sera vendu à 325 910 €. 2ème cas : Lorsque l’appartement est estimé à 301 000 € : Le prix net pour le vendeur atteint 301 000 €, mais avec la commission de l’agence, il sera vendu à 325 080 €.
Dans le deuxième cas, le vendeur bénéficie de 2 000 € supplémentaires, et son bien est affiché à un prix de vente plus abordable. Certes, dans ce cas précis, la différence de prix de vente n’est pas considérable, mais lorsque la valeur du bien est beaucoup plus élevée, ces montants peuvent rapidement s’accumuler. Quelques milliers d’euros de plus peuvent vous permettre de rénover votre cuisine ou d’acquérir un nouveau canapé pour votre futur chez-vous !
Il est donc essentiel de comparer toujours les commissions des agences immobilières et d’ajuster le prix de vente en fonction de l’estimation de votre bien. Gardez également cela à l’esprit lorsque vous recevez des offres pour éviter les désagréments.
Si vous préférez une alternative plus avantageuse, envisagez de faire appel à une agence comme Béa, qui propose un taux de commission fixe de 3% pour tous types de biens. Ainsi, vous ne serez jamais confronté à ces paliers de commission contraignants. Ne laissez pas l’occasion de maximiser vos gains vous échapper !
Acheter avant d’avoir vendu : le prêt relais a longtemps été l’outil « passe-pont » des propriétaires pressés. En 2025 pourtant, cet emprunt court terme redevient délicat : marché inégal, délais de vente étirés, pression sur les prix… À Paris, près d’un vendeur sur cinq revend à perte. Voici, sans détours, comment fonctionne un prêt relais, pourquoi il se complique cette année, et par quoi le remplacer intelligemment.
Le prêt relais, comment ça marche (vraiment)
Un prêt relais est un crédit à court terme qui vous avance une partie de la valeur de votre logement actuel en attendant sa vente. La banque se fonde sur une estimation professionnelle pour prêter une fraction du prix net vendeur : souvent entre 50 % et 80 % selon les établissements et la qualité du dossier. Le prêt est in fine : vous ne remboursez que les intérêts intercalaires pendant la durée du relais, puis le capital est soldé à la vente. La durée standard est de 12 mois, prolongeable une fois (jusqu’à 24 mois) sous conditions.
Exemple (indicatif) : bien estimé 400 000 €, relais à 60 % = 240 000 €. À 4,5 % d’intérêts, cela représente ~900 € d’intérêts par mois, soit ~10 800 € sur 12 mois, hors assurance et frais.
Pourquoi devient-il risqué en 2025 ?
1. Une dépendance extrême à la vitesse de vente
Le relais ne pardonne pas les retards. Si votre bien ne se vend pas assez vite ou au prix estimé, les intérêts s’accumulent, l’échéance approche et la banque exige le remboursement à terme. Cela incite à brader pour éviter un défaut ou une prolongation coûteuse.
2. Un coût supérieur à un prêt classique
Les taux des prêts relais restent plus élevés qu’un crédit amortissable standard et s’accompagnent de frais annexes (assurance, dossier, garantie). Sur 9 à 18 mois, la facture grimpe vite, surtout si la vente s’éternise.
3. Un marché inégal, des vendeurs fragilisés
Le marché 2025 est contrasté : baisse modérée au national, stabilisation par endroits et rares hausses locales. Cette dispersion complique les estimations et augmente le risque d’écart entre la valeur espérée et le prix réellement obtenu. À Paris, où les prix restent sous leur pic pré-2021, près d’un vendeur sur cinq revend à perte ; dans ce contexte, adosser son achat à une vente aléatoire multiplie le risque.
Les signaux à surveiller avant de signer
Liquidité locale : volume d’acheteurs, délais de vente du segment (appartement familial, studio, maison de ville).
Écart estimation/offres : testez le marché avec une mise en ligne « sérieuse » avant de débloquer le relais.
Trésorerie tampon : simulez 12 à 18 mois d’intérêts + charges courantes + éventuelle décote à la revente.
Plan B documenté : que se passe-t-il si la vente n’aboutit pas dans les temps ?
Alternatives plus sereines en 2025
Solution
Principe
Coût du financement
Dépend de la vente du bien
Délai / Flexibilité
Pour qui
Vente longue
Compromis avec délai étendu avant acte (et parfois occupation post-vente convenue)
Faible (pas d’intérêts de relais)
Non pendant le délai
Négociable (souvent 4–6 mois)
Vendeurs/acheteurs synchronisés
Prêt achat-revente
Prêt global qui intègre le remboursement de l’ancien crédit et l’achat du nouveau
Modéré à élevé selon banque
Moins sensible qu’un relais nu
Durées plus souples
Propriétaires avec bon profil
Achat avec clause suspensive de vente
Vous achetez, mais l’achat est subordonné à la vente de votre bien
Très faible
Oui, mais vous ne payez pas si la vente échoue
Délai contractuel
Marchés lents, profils prudents
Échange immobilier définitif (Béa)
Permutation des propriétés entre propriétaires, avec compensation (soulte) et acte notarié
Droits et frais optimisés
Non (pas d’attente de vente à un tiers)
Rapide, calendrier commun
Propriétaires voulant sécuriser le mouvement sans relais
Chez Béa, l’échange définitif permet de calibrer la soulte au plus juste et de sécuriser les délais, sans intérêts intercalaires ni dépendance à une mise en vente incertaine.
Questions fréquentes (FAQ)
Le prêt relais finance-t-il 100 % de mon futur achat ? Non. Il avance une fraction (50–80 %) de la valeur de votre bien actuel. Le solde est couvert par votre apport et/ou un prêt amortissable classique.
Que se passe-t-il si je ne vends pas à temps ? À l’échéance, la banque peut exiger le remboursement du capital relais. Sans solution, vous devrez prolonger (si possible, à coût supplémentaire), baisser le prix… voire vous exposer à une vente contrainte.
Pourquoi l’échange immobilier réduit-il le risque ? Parce qu’il supprime la condition de trouver un acheteur tiers. Vous échangez avec un autre propriétaire, la soulte remplace le relais et l’acte est réalisé à date convenue, ce qui stabilise le budget et le calendrier.
Notre avis Béa en 2025
Le prêt relais n’est pas « mort », mais il a perdu son avantage-risque dans un marché qui se normalise lentement et reste hétérogène. Coûts intercalaires, aléas de revente, décotes locales : tout concourt à le rendre plus fragile pour un ménage standard. La tendance est claire : privilégier des montages qui décorrèlent l’achat de la vente (vente longue bien ficelée, achat-revente structuré, ou mieux : échange immobilier définitif), afin d’avancer sans brûler de cash ni brader son patrimoine.
Encadré pratique : checklist express avant toute décision
Deux estimations écrites (notaire + agence) et un scénario conservateur (prix -5 % à -10 %).
Simulation 12–18 mois d’intérêts intercalaires + assurance.
Clause d’occupation ou vente longue négociée si vous vendez avant d’acheter.
Option échange explorée sur Béa si vous avez des critères compatibles (zone, typologie, budget soulte).
La carte scolaire conditionne souvent un projet familial : proximité de l’école, du collège ou du lycée, trajet raccourci, rythme du soir serein. Le parcours « vendre puis acheter » étire les délais et multiplie les aléas (prêt relais, logement provisoire). L’échange immobilier définitif réunit deux familles aux besoins inverses, équilibre la différence de valeur par une soulte, et se conclut par un acte notarié unique. Résultat : une date de signature unique avant la rentrée, un seul déménagement, et un quotidien plus simple dès septembre.
Pourquoi l’échange est l’allié d’un changement de secteur scolaire
Calendrier calé sur la rentrée : l’avant-contrat fixe une date unique de signature et de remise des clés.
Équité par la soulte : l’écart de valeur se négocie proprement, sans brader votre prix ni surpayer.
Moins d’étapes critiques : diagnostics et pièces de copro des deux côtés, mais un seul acte.
Logistique apaisée : un seul déménagement, pas de garde-meubles ni de logement transitoire.
Ce qui compte pour les familles (et comment le cadrer dans l’échange)
Critère d’usage
Ce qu’il faut viser
Impact dans la négociation
Périmètre scolaire
Adresse bien située pour l’école/collège/lycée visés
Peut justifier une soulte plus ferme
Trajets
Temps réel matin/soir, sécurité des parcours
Valeur d’usage (vélos, marche, tram)
Bruit & sommeil
Chambre enfant au calme
Ajustement du panier travaux (isolation)
Rangements
Entrée/placards pour cartables/sport
Minorations si défauts notables
DPE & charges
Confort hiver/été
Intégré dans la soulte
Conseil : évaluez les temps aux heures de pointe (matin/fin d’après-midi) et notez-les noir sur blanc dans vos arguments de valeur d’usage.
Parcours type « carte scolaire » en 6 étapes
Définir le périmètre : rues et établissements cibles, temps de trajet visés.
Publier & matcher : recherche d’un foyer qui fait le chemin inverse (secteur A ↔ secteur B).
Avant-contrat d’échange : conditions suspensives, date unique avant la rentrée, pièces complètes.
Acte unique chez le notaire : remise des clés coordonnée, installation.
Cas pratique : T3 secteur École X ↔ T4 secteur Collège Y
Situation : Nora et Samir visent le secteur de l’École X (trajet à pied). Leur T3 actuel se trouve hors périmètre. En face, Élodie et Maxime veulent rejoindre le Collège Y et cherchent un T3. Match : besoins inverses, quartiers voisins. Soulte : ajustée au DPE et à une SDE à rafraîchir côté destination. Calendrier : avant-contrat à J+30, acte unique à J+55, emménagement mi-août. Gain : rentrée sécurisée, zéro logement provisoire, un seul déménagement.
Échange vs parcours séquentiel : qui protège la rentrée ?
Sujet
Vendre puis acheter
Échange immobilier
Délais
2 transactions, dépendances
Un seul acte, calendrier maîtrisé
Financement
Souvent prêt relais
Soulte finançable (prêt/épargne)
Déménagement
Parfois en 2 temps
Un déménagement
Négociation
Rabais/surenchère
Équité par la soulte
Stress de rentrée
Élevé
Prévisible (date unique)
Négocier sans se perdre : méthode claire
Base objective : estimations récentes, DPE, devis travaux si besoin.
Usage documenté : temps réels, accès aux activités, sécurité des parcours.
Soulte en scénarios : 2–3 montants selon calendrier et panier travaux.
Clauses utiles : occupation différée courte si peinture/chambre à aménager.
Exemple pédagogique (ordre de grandeur)
Bien A : T3 hors secteur visé, estimé 410 000 €.
Bien B : T4 dans le périmètre recherché, estimé 470 000 €.
Différence brute : 60 000 € → soulte à verser par l’acquéreur du bien plus cher.
Panier travaux : menuiseries B à moderniser (8–10 k€) → soulte discutée 50–55 k€ selon échéance d’acte.
Check-list express “rentrée sereine”
Dossier complet (titres, diagnostics, DPE, copro/états datés).
Trajets testés en conditions réelles.
Rangements prévus (cartables, sport, vélos).
Déménageur pré-réservé, créneau d’ascenseur si copropriété.
Clause de date verrouillée dans l’avant-contrat.
Questions fréquentes
Peut-on vraiment caler l’acte avant la rentrée ? Oui, l’intérêt de l’échange est de sécuriser une date unique décidée ensemble.
La soulte est-elle finançable ? Oui, comme un achat classique (épargne et/ou prêt amortissable).
Et si le bien cible a un DPE faible ? On chiffre un panier travaux et on ajuste la soulte ; le notaire l’intègre à l’acte.
L’échange est-il aussi sécurisé qu’une vente ? Oui : vente réciproque par acte authentique unique, diagnostics et protections usuelles.
Cap sur la bonne carte scolaire sans double logistique. Publiez votre bien et vos critères, trouvez le duo miroir, équilibrez par soulte, signez une fois et offrez-vous une rentrée sereine.