Comment sont réparties les économies de frais de notaire ?
Les économies sont réparties proportionnellement au prix des appartement où selon un accord entre les propriétaires
L’expert béa vous accompagne dans cette démarche. Pour plus d’informations vous pouvez vous rendre sur la page https://www.bea.immo/lechange-immobilier/
Acheter avant d’avoir vendu : c’est précisément le rôle du prêt relais. En 2025, les barèmes se sont détendus, avec des meilleurs profils autour de 2,95 % et des dossiers plus standards jusqu’à 3,75 %. Mais un relais reste un crédit court terme, parfois coûteux et risqué si la vente s’éternise. Dans ce guide, on entre dans le concret : comment ça marche, combien ça coûte vraiment, les variantes (sec / adossé), les critères d’acceptation… et l’alternative la plus efficace pour s’en passer : l’échange immobilier définitif.
Les taux de prêt relais en 2025 (baromètre)
En septembre 2025, Immobilier-Danger recense des repères de marché suivants pour les crédits relais : « excellent » 2,95 %, « bon » 3,20 %, « moyen » 3,40 % et « maximum » 3,75 %. Contexte utile : les taux immobiliers « classiques » se tassent autour de ~3,07 % en moyenne (20–25 ans), selon leur baromètre mensuel.
À retenir : le taux de votre relais dépend de la qualité du dossier (revenus, patrimoine, endettement, perspectives de revente) et de la politique commerciale de la banque.
Comment fonctionne un prêt relais ?
Un prêt relais est une avance à court terme (emprunt « in fine ») destinée à financer l’achat de votre nouveau bien avant la revente de l’actuel. Le capital se rembourse en une fois lors de la vente ; vous payez des intérêts (et l’assurance) pendant la durée du relais.
Durée : 12 mois renouvelables une fois (maximum 24 mois).
Montant : en pratique 60–80 % de la valeur estimée (souvent ~70 %).
Formes :
Prêt relais sec (le plus simple) : le relais suffit à financer l’achat (bien acquis ≤ valeur du bien vendu).
Prêt relais adossé (achat-revente) : relais + prêt immobilier classique pour un bien plus cher.
Remboursement : intérêts mensuels (franchise partielle) ou différé total (intérêts capitalisés, plus coûteux).
Combien ça coûte vraiment ? (tableau de calcul)
Le coût du relais dépend surtout du montant avancé, du taux et de la durée d’attente avant la vente. Exemples réalistes avec paiement mensuel des intérêts (hors assurance) :
Montant du relais
Taux
Mensualité d’intérêts
Coût total 6 mois
12 mois
18 mois
24 mois
150 000 €
2,95 %
368,75 €
2 212,50 €
4 425,00 €
6 637,50 €
8 850,00 €
150 000 €
3,20 %
400,00 €
2 400,00 €
4 800,00 €
7 200,00 €
9 600,00 €
150 000 €
3,40 %
425,00 €
2 550,00 €
5 100,00 €
7 650,00 €
10 200,00 €
150 000 €
3,75 %
468,75 €
2 812,50 €
5 625,00 €
8 437,50 €
11 250,00 €
200 000 €
2,95 %
491,67 €
2 950,00 €
5 900,00 €
8 850,00 €
11 800,00 €
200 000 €
3,20 %
533,33 €
3 200,00 €
6 400,00 €
9 600,00 €
12 800,00 €
200 000 €
3,40 %
566,67 €
3 400,00 €
6 800,00 €
10 200,00 €
13 600,00 €
200 000 €
3,75 %
625,00 €
3 750,00 €
7 500,00 €
11 250,00 €
15 000,00 €
300 000 €
2,95 %
737,50 €
4 425,00 €
8 850,00 €
13 275,00 €
17 700,00 €
300 000 €
3,20 %
800,00 €
4 800,00 €
9 600,00 €
14 400,00 €
19 200,00 €
300 000 €
3,40 %
850,00 €
5 100,00 €
10 200,00 €
15 300,00 €
20 400,00 €
300 000 €
3,75 %
937,50 €
5 625,00 €
11 250,00 €
16 875,00 €
22 500,00 €
Autres frais à prévoir
Garantie : caution (Crédit Logement) ou hypothèque/PPD, avec barèmes spécifiques ; la caution est payable au déblocage et estimable via l’outil officiel.
Assurance emprunteur : variable selon l’âge et le capital assuré.
Taux d’usure : vérifiez que le TAEG (intérêts + assurance + frais) reste sous le seuil en vigueur (mise à jour trimestrielle par Bercy).
Les conditions d’acceptation (ce que regardent les banques)
Taux d’endettement et reste à vivre pendant la phase transitoire.
Qualité de revente : estimation du bien à céder, liquidité du secteur, éventuel compromis signé (plafond parfois relevé à 80 % en cas de promesse).
Durée de mise en vente réaliste (12–24 mois max).
Conseil : joignez à votre dossier une estimation écrite (agent/notaire), votre stratégie de mise en vente et, si possible, une promesse signée : cela améliore le ratio financé.
Les variantes du prêt relais (et quand les utiliser)
Relais sec : utile si votre futur achat ≤ valeur du bien vendu, sans besoin de prêt amortissable supplémentaire.
Relais adossé (achat-revente) : combinaison relais + prêt classique lorsque vous montez en gamme.
Franchise totale : vous ne payez rien pendant le relais (intérêts capitalisés) ; attention au coût final.
Les risques en 2025 (et comment les limiter)
Le relais reste sensible à la vitesse de revente. Immobilier-Danger souligne qu’en 2025, le risque redevient élevé si la vente prend du retard : vous supportez intérêts, assurance… et, à l’échéance, une banque peut exiger le remboursement si le bien n’est pas vendu.
Parades pragmatiques
Fixer un prix de vente réaliste dès le départ.
Prévoir une marge de sécurité (ne pas emprunter le plafond).
Étudier les alternatives ci-dessous si votre situation le permet.
Alternatives pour éviter ou réduire le prêt relais
Vente longue
Vous signez la vente, mais l’acheteur vous laisse occuper le bien quelques mois, le temps de votre emménagement — utile pour synchroniser.
Prêt achat-revente « packagé »
Solution bancaire qui restructure l’ensemble de l’opération (ancien capital + nouveau projet), souvent avec avance d’environ 70 % de la valeur en vente. Vérifiez les modalités par banque.
Échange immobilier définitif (l’atout Béa Immo)
Deux propriétaires échangent leurs biens lors d’un acte notarié unique, avec soulte si les valeurs diffèrent. Résultat : pas de relais, un seul calendrier, un seul déménagement. Sur le plan fiscal, l’échange est assimilé à une double vente (droits de mutation au tarif en vigueur), avec des régimes particuliers dans certains cas ; demandez un chiffrage à votre notaire.
DMTO 2025, ordre de grandeur : le droit départemental peut aller jusqu’à 5 % (plafond relevé par la loi de finances 2025, selon vote local), auxquels s’ajoutent taxes additionnelles (commune, CSI, etc.) : le total ressort autour de 5,8–6,3 % dans de nombreux départements après revalorisations récentes.
Zoom Béa Immo : notre communauté « ouverte à l’échange » vous évite la chaîne vendre-puis-acheter, donc le prêt relais et ses intérêts.
Check-list express pour négocier votre prêt relais
Comparer au moins 3 offres et présenter un plan de revente.
Demander lissage / franchise partielle pour lisser vos charges.
Optimiser garantie (caution vs hypothèque) et vérifier la restitution éventuelle de part de caution en fin de prêt (selon organisme).
Contrôler le TAEG vs taux d’usure avant signature.
FAQ — « Taux prêt relais 2025 » / « Comment ça marche un prêt relais ? »
Quels sont les taux de prêt relais en 2025 ? Les meilleurs profils obtiennent environ 2,95 % ; des dossiers standards se situent entre 3,20 % et 3,75 %, selon banque et profil.
Quelle est la durée maximale ? 24 mois maximum (12 mois renouvelables une fois).
Combien puis-je emprunter en relais ? Le plus souvent 60–80 % de la valeur estimée (souvent ~70 %).
Un prêt relais est-il toujours judicieux ? Non : si votre bien est peu liquide ou si vous achetez significativement plus cher, le risque (dureté des intérêts, échéance) augmente. Étudiez l’échange immobilier pour éviter le relais.
Les frais de notaire baissent-ils en échange immobilier ? L’échange reste fiscalisé au tarif de la vente (DMTO + taxes), avec des nuances selon les montages et départements. Demandez un chiffrage à votre notaire. En 2025, le droit départemental peut aller jusqu’à 5 % (plafond relevé), portant le total souvent autour de 5,8–6,3 %.
Échanger son appartement à Paris plutôt que vendre/acheter séparément peut réduire fortement la facture de frais d’acte et accélérer le projet. En 2025, la donne a changé : le marché se rééquilibre, la qualité énergétique pèse plus lourd, et certains arrondissements deviennent de véritables « hubs d’échange ». Béa Immo vous livre un classement argumenté des zones les plus pertinentes… et pourquoi.
Notre définition de la « rentabilité » d’un échange à Paris
À l’échelle d’un propriétaire, un échange est « rentable » s’il maximise (1) l’économie nette de frais d’acte par rapport à deux transactions classiques, (2) la probabilité de trouver une contrepartie compatible (valeur/typologie/localisation), et (3) la conformité et la valeur d’usage à long terme (DPE, charges, mobilité). En pratique, l’échange notarié permet de réduire sensiblement la taxation par rapport à deux achats/ventes séparés, car on ne dresse qu’un seul acte d’échange, avec un calcul spécifique sur le bien le moins cher, le plus cher et la soulte. Les économies peuvent atteindre de l’ordre de 50–60 % selon les cas, ce qui améliore mécaniquement la « rentabilité » globale du projet.
La méthode Béa : un indice de pertinence d’échange (IPE)
Nous avons construit un IPE (0 à 100) croisant quatre familles d’indicateurs propres au marché parisien 2025 :
Écart de valeurs intra-arrondissement et inter-arrondissements (facilite la compensation en soulte).
Profondeur du stock et diversité typologique (studios, 2-3 pièces, familles) qui augmente la probabilité d’appariement.
Contraintes réglementaires et énergétiques : poids du DPE et exposition aux interdictions de location pour les logements les plus énergivores, effectives depuis 2025.
Dynamique de marché 2025 (liquidité/prix en reprise timide à Paris), pour des délais d’exécution raisonnables.
Remarque : l’IPE est un outil d’aide à la décision, pas une cote officielle. Il doit être combiné à une estimation notariale et à un audit DPE du bien.
Le classement 2025 des arrondissements les plus pertinents pour l’échange
Catégorie
Arrondissements
Profil & pourquoi c’est pertinent en 2025
IPE (est.)
Cœurs d’échange
11e, 12e, 14e, 15e
Gros bassins d’appartements de 2–4 pièces, budgets « charnière » permettant des soultes maîtrisées, bonne mobilité inter-arrondissements. Marché assez profond pour des appariements rapides.
80–86
Arbitrage valeur/typologie
10e, 13e, 18e
Mix de surfaces et budgets hétérogènes favorisant les échanges « horizontaux » (surface vs. localisation) ou « verticaux » (gain/perte de m² compensés par soulte).
74–79
Accès & volume
19e, 20e
Tickets d’entrée plus accessibles, stock important en petites/moyennes surfaces : idéal pour échanger un 2 pièces contre un 3 pièces en périphérie proche (ou inversement) avec soulte raisonnable.
70–75
Premium ciblé
3e/4e (Marais), 9e, 17e, 16e
Valeurs élevées mais appariements plus « sur-mesure ». Pertinent si vous visez un échange croisé (ex. 16e ⇄ 9e) avec soulte calibrée.
65–72
Ultra-premium de destination
6e, 7e, 8e
Marché de niche : l’échange peut neutraliser une partie de la fiscalité grâce à la mécanique de l’acte unique, mais la rareté des couples « compatibles » allonge la recherche.
58–66
Lecture rapide : si vous possédez dans les 11e–15e, vous êtes au cœur de la « zone de confort » de l’échange (équilibre valeur/volume). Si vous cherchez à « monter » d’un cran en localisation sans exploser la soulte, regardez des couloirs 10e–13e–18e.
Où l’échange est-il le plus « rentable » ?
La « rentabilité » nette dépend de l’écart de valeur entre les biens et du calcul de l’acte d’échange (part prélevée sur le moins cher, le plus cher et la soulte). Paris étant un département à droits élevés en régime classique, la transformation de deux ventes/achats en un seul acte d’échange produit l’essentiel du gain. Concrètement, plus vos valeurs sont proches (soulte contenue), plus l’économie de frais pèse dans la balance—et plus l’échange devient « rentable ». Exemple de principe et formules explicatives disponibles sur le site Béa Immo.
Situations gagnantes fréquentes en 2025 à Paris :
Échange « surface ↔ localisation » : céder quelques m² (15e/14e) contre une adresse plus centrale (11e/10e) avec soulte limitée.
Échange « confort thermique » : quitter un bien à DPE faible pour un bien mieux noté, afin d’éviter les contraintes de location (interdictions 2025 sur les classes les plus basses).
Échange « famille » : 2 pièces bien placé (12e/11e) ⇄ 3 pièces un peu plus excentré (13e/19e/20e), soulte calibrée.
Cas d’usage : combien peut-on économiser sur les frais ?
Dans un schéma type 400 000 € ⇄ 300 000 € avec soulte de 100 000 €, l’acte d’échange applique une fiscalité spécifique sur le bien le plus cher, le moins cher et la soulte (à répartir ensuite entre co-contractants). Dans cet ordre de grandeur, l’économie par rapport à deux achats/ventes classiques flirte fréquemment avec ~50–55 % des frais cumulés, ce qui peut représenter plusieurs dizaines de milliers d’euros à Paris.
Conseils par profil d’arrondissement (pratique)
11e–12e–14e–15e (Cœurs d’échange) : préparez 2 scénarios de soulte (+/- 30 k€) pour élargir la recherche. Mettez en avant ascenseur, plan en étoile et charges contenues : ce sont des déclencheurs d’appariement.
10e–13e–18e (Arbitrage) : justifiez la valeur d’usage (transports, écoles, commerces de destination) pour compenser un léger écart de standing.
19e–20e (Accès/volume) : soignez DPE et charges : un bon score peut vous faire « remonter » d’un cran en localisation à soulte constante. Référencez cave/balcon/espaces verts.
16e–6e–7e–8e (Premium) : structurez un échange triangulaire (A⇄B⇄C) dès le départ : rare mais puissant pour équilibrer valeurs et attentes.
Check-list de conformité et de fluidité
Avant-contrat : mandat clair d’échange, valeur des biens sécurisée par avis de valeur et/ou notaire.
Diagnostics : DPE, amiante, électricité, ERP… à jour (les classes très énergivores ne sont plus louables depuis 2025).
Financement : si soulte, vérifier prêt (classique, relais, PTZ pour le neuf le cas échéant). Le contexte 2025 de détente des taux facilite les montages.
Acte : 1 seul acte notarié d’échange avec calcul spécifique des droits ; répartition des frais entre parties à prévoir contractuellement.
FAQ express
Un échange est-il plus rapide qu’une vente + un achat ? Souvent oui, car l’appariement synchronise cession et acquisition en un acte, limitant les délais et les incertitudes de revente/reachat.
Qui paie les frais ? Ils sont réduits par rapport à deux transactions et répartis entre les parties ; la clé de répartition est négociée dans le compromis d’échange.
Puis-je échanger si mon bien a un crédit en cours ? Oui, sous réserve d’accord bancaire pour la soulte (rachat ou nouveau prêt).
Et si les valeurs ne sont pas identiques ? La soulte compense l’écart. Plus elle est contenue, plus la solution est « rentable » dans l’esprit du dispositif.
À Lyon, la marche arrière des prix bouscule les plans : vendre avant d’acheter devient plus risqué, le prêt relais effraie et l’attente paralyse. Chez Béa Immo, on voit pourtant émerger une alternative simple et sécurisée : l’échange immobilier définitif. Quand deux propriétaires s’accordent sur une valeur, on signe un seul acte, on s’échange les clés et chacun avance — sans dépendre d’une chaîne de ventes fragile.
Lyon 2025 : un marché qui corrige, des projets qui s’ajustent
La métropole a connu des années d’euphorie, puis un refroidissement net. Cette correction ne touche pas tous les quartiers de la même manière, mais elle complique un point précis : revendre pour racheter dans des délais courts et sans y laisser son apport. Résultat, beaucoup de ménages « figent » leur projet en attendant des jours meilleurs. C’est précisément dans ce contexte que l’échange immobilier reprend tout son sens.
À retenir : la baisse n’empêche pas d’avancer — elle invite à réorganiser son projet pour réduire les risques et sécuriser le financement.
L’échange immobilier, concrètement
Définition. Deux propriétaires conviennent d’échanger leurs biens de manière définitive, via un notaire. L’acte authentique transfère la propriété de part et d’autre au même moment. Si les biens n’ont pas la même valeur, une soulte compense la différence.
Diagnostics et conformité. Comme pour une vente classique, diagnostics techniques (dont DPE) et documents d’urbanisme sont requis. Le notaire vérifie titre, servitudes, charges de copropriété et hypothèques, puis rédige l’acte.
Frais et fiscalité (vue d’ensemble). Les frais d’acte existent, mais l’assiette peut être plus favorable qu’une vente + achat successifs :
perception d’un droit d’échange calculé sur le lot le plus faible ;
droits de mutation appliqués sur la soulte lorsqu’il y en a ;
émoluments et débours notariés, comme en vente classique, mais pas de double commission d’agence si l’accord est trouvé directement entre propriétaires via Béa Immo.
Le bon réflexe : faire simuler les frais par le notaire à partir des valeurs retenues et de la soulte. Vous évitez ainsi les mauvaises surprises et vous comparez à armes égales avec un scénario « vendre puis acheter ».
Pourquoi l’échange protège mieux en période de baisse
Synchronisation : tout se joue en un seul acte, exit la chaîne (vente → prêt relais → achat) et le risque de décalage.
Pouvoir d’achat lisible : en fixant la soulte, vous verrouillez l’équilibre budgétaire et limitez l’impact d’une nouvelle baisse entre compromis et acte définitif.
Frais optimisés : l’assiette (lot le plus faible et/ou soulte) peut réduire l’addition par rapport à un achat « plein pot » après revente, surtout si vous évitez les commissions d’agence.
Temps gagné : pas de commercialisation longue à supporter ; on négocie, on se met d’accord, on signe.
Moins de stress bancaire : souvent, pas de prêt relais ; et si un financement reste nécessaire pour la soulte, il est ciblé et plus facile à calibrer.
Exemple chiffré (illustratif) : T3 à Lyon 7e ↔ maison de ville à l’ouest
Valeurs retenues : appartement à 420 000 € ↔ maison à 460 000 € ; soulte de 40 000 €.
Scénario A (vendre puis acheter) : droits de mutation sur 460 000 €, émoluments, débours, plus éventuelle commission d’agence et coût d’un prêt relais.
Scénario B (échange) : droit d’échange calculé sur le lot le plus faible (420 000 €) + droits de mutation sur la soulte (40 000 €) + émoluments et débours. Pas de double commission d’agence si appariement via Béa Immo.
Lecture : selon la structure exacte des frais, l’échange peut générer des économies substantielles et apporte surtout une sécurité de calendrier.
Simulation indicative : à affiner par votre notaire selon le département, la nature des biens et les options de financement.
Où l’échange est le plus pertinent à Lyon
Arrondissements centraux (1er, 2e, 7e) : idéal pour des échanges « appartement ↔ appartement » ou « appartement ↔ maison de ville », avec des valeurs proches.
Ouest lyonnais et communes proches : familles en quête d’espace contre ménages qui recentrent en ville ; l’échange limite les allers-retours sur le marché et sécurise la transition.
Biens à rénover / DPE F ou G : la décote sur les passoires thermiques peut être absorbée dans la négociation globale d’un échange, avec un projet travaux plus lisible.
Mode d’emploi avec Béa Immo
1. Déposez votre bien : description complète, DPE, photos récentes, critères d’échange (type de bien, zones ciblées, budget de soulte).
2. Matchez intelligemment : notre algorithme compare valeurs, surfaces, DPE et localisation pour proposer des appariements pertinents.
3. Négociez la soulte : nous outillons la discussion (estimations par quartier, fourchettes de prix) pour converger vers un accord équilibré.
4. Signez chez le notaire : un seul rendez-vous, un seul acte, des clés qui changent de mains le même jour.
Témoignage
« Nous avions acheté en 2021. Avec la baisse, revendre pour racheter nous faisait perdre du temps et de l’argent. L’échange via Béa Immo nous a permis de passer d’un T3 à Saxe-Gambetta à une maison à Tassin, en fixant une soulte claire. Pas de prêt relais, pas de chaîne. On dort mieux. » — Élodie & Marc
Questions fréquentes
Peut-on échanger si l’un des deux biens a un crédit en cours ? Oui, sous réserve d’accord bancaire : soit vous rachetez le capital restant dû, soit vous négociez la portabilité si votre banque la propose. Votre conseiller vous guide.
Et la fiscalité sur la plus-value ? Les règles s’alignent sur une vente classique (exonération résidence principale, régime de droit commun pour une résidence secondaire). Le notaire vous éclaire selon votre cas.
Quid du DPE ? Les diagnostics sont obligatoires. Un DPE défavorable impacte la valeur ; intégrer un budget travaux dans l’échange est souvent gagnant.
Est-ce possible entre plusieurs propriétaires ? Oui : on peut organiser un échange à trois (ou plus) si les soultes s’équilibrent et que chaque transfert est formalisé dans l’acte.
Repères de prix (ordre de grandeur, automne 2025)
Secteur lyonnais
Prix moyen indicatif au m²
Ville de Lyon (tous biens)
~4 700–4 800 € / m²
Lyon 2e
~5 800–5 900 € / m²
Lyon 7e
~4 700–4 800 € / m²
Lyon 5e
~4 500–4 600 € / m²
Ces fourchettes servent uniquement de repères pour estimer une soulte. Affinez avec des estimations récentes et un notaire.
Conseils pratiques pour réussir son échange à Lyon
Préparez un dossier carré : DPE, factures de travaux, PV d’AG, règlement de copropriété, diagnostics.
Restez réalistes sur les valeurs : basez-vous sur des transactions locales récentes, pas sur les prix d’annonce.
Anticipez la soulte : simulez son financement et l’impact des droits afférents.
Soyez souples sur le calendrier : un échange s’organise vite, à condition de baliser la logistique (déménagement, écoles, travaux).