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Comment se calculent les frais de notaire dans un échange ?

L’échange immobilier bénéficie d’une taxation différente car il ne représente qu’un seul acte, qui est l’échange, en lieu et place de deux achats ventes simultanés.

Les calculs sont les suivants:

1% d’impôt est prélevé sur le bien le plus cher + 5% sur le bien le moins cher + 6,3% sur la soulte (la somme différentielle entre les deux biens) =

La somme des frais de notaire à répartir entre les deux co-contractants.

Les économies peuvent aller jusqu’à 60% par rapport aux taux d’un achat/vente classiques.

Exemple concret :
Avec le bien A d’une valeur de 300 000€ et le bien B d’une valeur de 400 000€ :

Calculons les frais classique :
Pour l’acheter les bien A il faudra dépenser en frais de notaire : 300 000€ X 8% = 24 000 €
Pour l’acheter les bien B il faudra dépenser en frais de notaire : 400 000€ X 8% = 32 000 €

Calculons les frais en échange :
( 300 000 X 5% ) + (( 400 000- 300 000) X 6,3% ) + (400 000 X 1%) = 25 300 € .

Soit une économie de 54,82% sur les frais de notaire au total.

Une fois réparties , les frais de notaires coûtent :

  • Pour l’achat de l’appartement de A: 10 843 € soit une économie de 13 157€ pour l’acheteur .
  • Pour l’achat de l’appartement de B: 14 457 € soit une économie de 17 542€ pour l’acheteur .

Plus d’informations dans notre rubrique sur l’échange immobilier..

Vous pouvez aussi simuler votre échange grâce à notre calculateur.

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Ces français qui ne cherchent pas forcément plus grand

Lorsqu’on parle de vente immobilière, on a souvent en tête l’idée d’opter automatiquement pour un espace plus spacieux. Mais en pleine crise immobilière, cette croyance est plus que jamais remise en question. Car vendre pour acquérir un logement plus petit ou à taille égale est une réalité de plus en plus courante. Et changer volontairement pour plus petit s’impose comme une nouvelle tendance du marché.

Plus petit, pour une nouvelle étape de vie

De plus en plus de français en transition sont à la recherche de logements plus petits pour redémarrer sur un nouveau pied. Parmi eux, les divorcé.e.s tiennent le haut du pavé. En 2022, plus de 130 000 ménages finissaient par divorcer, un chiffre en constante augmentation. Alors que plus de la moitié des couples sont propriétaires, c’est autant de personnes qui font la part belle aux recherches de biens plus modestes, adaptés aux familles mono-parentale et/ou recomposées.

Dans une moindre mesure parmi les plus de 110 000 nouvelles personnes en surendettement chaque année, plus d’une sur dix est propriétaire de son logement. Une réévaluation de son besoin immobilier pour faire face au besoin de trésorerie peut advenir, et une attention maximale sera portée sur les opportunités de réduction de frais et de charges en cas de transaction.

Changer de cadre de vie, mais pas de budget immobilier

À budget équivalent, chacun peut transformer son cadre de vie en choisissant de déménager plus au vert, plus proche du centre ville, de l’océan, d’un meilleur ensoleillement… Aujourd’hui près de 32% des salariés envisagent une mobilité professionnelle dans les deux ans. Les carrières évoluent, elles se transforment, et le besoin d’agilité immobilière est plus fort que jamais. Se rapprocher de son lieu de travail est une nécessité, surtout pour les 10% d’actifs dont la priorité est de changer de ville ou de région (15% pour les actifs franciliens).

L’immo-sobriété, une solution vers le mieux vivre

Inflation, crise énergétique, crise immobilière, crise environnementale, crise de retraites… l’ostentatoire n’est plus à la mode, et l’accumulation de pièces à vivre ou d’hectares de jardins ne fait plus sens aujourd’hui.

Pour les 720 000 français qui arrivent en retraite chaque année, la voie de la sobriété s’impose comme une évidence. Avec la baisse des revenus induite par la retraite, et après le départ de leurs enfants pour créer leur propre vie, leur maison familiale est devenue bien trop grande pour deux personnes. Ils envisagent plus facilement des projets de voyage ou de maison secondaire et cherchent à réduire le nombre de pièces, le montant de leurs charges ou de leurs impôts. Déménager représente aussi l’opportunité de choisir un cadre de vie plus accessible, plus confortable ou de se rapprocher des enfants et petits-enfants plus mobiles que jamais.

De plus, la vente de leur bien leur permet de soutenir leurs enfants dans leur premier achat immobilier dans un contexte de durcissement du marché et de réduction du pouvoir d’achat.

Un choix de raison donc, comme celui de choisir d’occuper simplement le juste espace nécessaire pour limiter au maximum son impact environnemental. Une solution notamment prônée par Jean-Marc Jancovici, président du Think Tank The Shift Project. Il souligne que 86% des logements occupés par des propriétaires sont en situation de sous-occupation, à savoir qu’ils possèdent plus de pièces nécessaires au logement de ses occupants. La sous-occupation très accentuée (au moins trois pièces de plus par rapport à la situation de référence) est aussi liée à la propriété : parmi les 23,3 % de ménages dans cette situation, plus de 9 sur 10 sont propriétaires.

L’échange immobilier, une réponse d’avenir

Proposer à deux propriétaires d’échanger la propriété de leur biens sans passer par l’achat/vente comporte de nombreux avantages. En réduisant jusqu’à 60% des frais de notaire, la mobilité immobilière devient plus accessible que jamais. Le prêt relais disparaît, les démarches sont simplifiées, et ce marché de l’immobilier alternatif permet de faire se rencontrer les français en recherche d’une surface plus grande, avec ceux qui au contraire envisagent une réduction plus confortable, économique, ou plus en phase avec leurs convictions écologiques.

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Gagner plus en vendant (un peu) moins cher : la stratégie qui accélère votre vente immobilière

Affichez moins pour encaisser plus. Contre-intuitif, mais souvent redoutablement efficace : un prix d’appel volontairement compétitif élargit l’audience, déclenche des visites qualifiées, réduit la négociation et les délais… et, in fine, améliore votre net vendeur. Voici comment appliquer cette stratégie sans brader, en sécurisant votre dossier et votre calendrier.

Pourquoi un prix attractif peut rapporter plus

La première impression se joue sur la page de résultats. Un prix légèrement inférieur à la fourchette haute met votre bien en tête des comparaisons, déclenche plus de clics, plus de demandes et des visites groupées. En face, la négociation est moins agressive et la concurrence entre acheteurs s’installe naturellement. Résultat : le prix net grimpe, pendant que vos coûts de portage (charges, taxe foncière au prorata, intérêts de prêt relais, double loyer) décroissent.

Le signal-prix et l’effet d’enchère douce

Un prix d’appel pertinent n’est pas synonyme de « remise ». C’est un signal de sérieux : “bien au bon prix, vendeur prêt”. En pratique, cela se traduit par des offres rapides et proches du prix demandé, parfois au-dessus si plusieurs acquéreurs se positionnent. L’effet d’enchère douce joue en votre faveur sans allonger le calendrier.

Le calcul qui change tout (exemple chiffré réaliste)

Supposons des coûts de portage de 1 200 € / mois (charges + assurance + crédit/loyer + chauffage).

StratégiePrix affichéNégociation constatéeDélai de venteCoût de portagePrix net avant frais d’acte
Attente haute400 000 €−5 % → 380 000 €4 mois4 × 1 200 = 4 800 €375 200 €
Prix attractif388 000 €−1 % → 384 120 €1 mois1 × 1 200 = 1 200 €382 920 €

Différence : +7 720 € en faveur du prix attractif, simplement grâce à une négociation limitée et un délai raccourci. Cet écart s’amplifie si vous évitez un prêt relais ou un second déménagement.

Astuce Béa : testez un prix charnière psychologique (ex. 399 000 € plutôt que 402 000 €) pour apparaître dans deux fourchettes de recherche et capter davantage d’alertes.

Comment fixer la bonne fourchette sans brader

  • Point d’ancrage local : partez des ventes signées sur des biens comparables (surface Carrez, étage, ascenseur, extérieur, DPE, travaux).
  • Décote maîtrisée : positionnez-vous 2 à 4 % sous la valeur “haut de fourchette” si votre bien est concurrentiel, un peu plus si le DPE est faible ou si des travaux sont à prévoir.
  • Seuils psychologiques : privilégiez 349 000 €, 399 000 €, 449 000 €… plutôt que 352 000 €, 402 000 €, 452 000 €.
  • Fenêtre météo : lancez au milieu de semaine, photos “lumière douce”, annonce exhaustive, et créneaux groupés le samedi pour créer de la dynamique.

Mettre la scène du succès : annonce et visites

  • Photos professionnelles + plan : une photo de façade et une planche de plan lisible augmentent la qualité des contacts.
  • Fiche claire : surface Carrez, diagnostics, charges, taxe foncière, travaux en AG, fibre, bruit, stationnement, consommations.
  • Dossier prêt : titre de propriété, tous diagnostics (DPE opposable, amiante, plomb, électricité/gaz si +15 ans, ERP, termites selon zone, Carrez en copro, assainissement non collectif le cas échéant), derniers PV d’AG, appel de charges, règlement de copropriété, notice des équipements.
  • Visites groupées : des créneaux resserrés concentrent la demande et limitent les délais morts.

Négociation courte, sécurisation longue

  • Fenêtre d’offres : annoncez que vous recueillez les offres jusqu’à une date/heure, puis réponse le lendemain.
  • Priorité au solide : financement validé, apport > 10 %, délai raisonnable, conditions suspensives maîtrisées.
  • Calendrier à tiroirs : vous pouvez prévoir une vente longue (signature de l’acte à date différée) pour aligner votre achat-relogement, ou un séquestre plus élevé pour sécuriser l’engagement de l’acheteur.

DPE, travaux et perception du prix

Un DPE médiocre élargit la décote attendue par les acheteurs. Deux leviers immédiats :

  • Transparence sur les postes énergivores (fenêtres, isolation, chauffage) et devis à l’appui.
  • Proposition d’un “chèque travaux” intégré dans le prix attractif pour clarifier l’effort réel demandé à l’acheteur.

Alternative intelligente : l’échange immobilier définitif

Pour éviter prêt relais, double déménagement et effet “chaîne”, l’échange immobilier définitif entre propriétaires permet de vendre et acheter en un seul acte notarié, avec une soulte s’il y a un écart de valeur. C’est particulièrement efficace quand deux calendriers et deux projets se répondent. La communauté Béa Immo fluidifie ces mises en relation et sécurise le parcours.

Check-list express avant mise en ligne

  • Estimation sourcée (actes signés comparables, pas seulement des annonces).
  • Prix d’appel compétitif et psychologique.
  • Dossier technique complet prêt à être transmis.
  • Reportage photo + plan.
  • Créneaux de visites groupées planifiés.
  • Fenêtre d’offres et critères de priorité définis.
  • Scénario “vente longue” et relogement anticipés.

FAQ

Vais-je “perdre” de l’argent en affichant moins cher ?
Non si la décote est maîtrisée. Vous réduisez la négociation et les délais, donc les coûts de portage. Le net vendeur est souvent meilleur.

De combien baisser le prix d’appel ?
En pratique, 2 à 4 % sous la fourchette haute suffit quand le bien est compétitif. Ajustez selon DPE, travaux, étage/ascenseur et rareté.

Combien de temps laisser l’annonce à ce prix ?
Si la campagne est bien préparée (visites groupées), vous ciblez un engagement en 10 à 21 jours. Au-delà, réévaluez photos, texte et prix.

Prix attractif = acheteurs “chasse aux bonnes affaires” ?
Vous aurez plus de demandes, mais une fenêtre d’offres courte et des critères de solidité de financement filtrent efficacement.

Puis-je cumuler prix attractif et vente longue ?
Oui. Vous sécurisez rapidement l’offre et conservez un délai de signature adapté à votre projet de relogement.

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Énergie et DPE : le levier le plus sous-estimé pour vendre plus vite (et mieux)

Dans les visites, on parle cuisine, lumière, plan… et, désormais, performance énergétique. Les acheteurs comparent les étiquettes, anticipent les factures, et savent que les logements sans travaux, bien classés au DPE, se vendent plus vite et négocient moins. Bonne nouvelle : en quelques semaines, il est possible d’améliorer la lisibilité énergétique de votre bien – parfois son étiquette – et de sécuriser votre prix. Voici la méthode Béa Immo, très concrète, pour préparer votre vente.

Pourquoi l’énergie devient un critère décisif

Depuis que la rénovation énergétique structure la valeur d’un logement, le DPE n’est plus une formalité : il rassure, accélère, et pèse sur la négociation. Les biens correctement classés et ne nécessitant pas de gros travaux attirent plus de visites, se revendent plus rapidement, et résistent mieux aux offres agressives. A contrario, une passoire thermique cristallise les incertitudes (coûts, délais, artisans) et étire les délais de transaction.

Au-delà du prix, deux éléments retiennent l’attention des acheteurs :

  • Le “coût d’usage” (chauffage, eau chaude, confort d’hiver/été) mis en perspective par le DPE.
  • La lisibilité du parcours travaux : un bien « prêt à habiter » avec une étiquette correcte inspire confiance, même si tout n’est pas parfait.

Avant de publier l’annonce : sécuriser le socle réglementaire

  • Commandez un DPE à jour (valide 10 ans, plus court si travaux). Vérifiez que le diagnostiqueur est certifié et assurez-vous que toutes les factures utiles (chaudière, isolation, menuiseries) lui sont remises.
  • Cas des logements classés F/G : un audit énergétique réglementaire doit accompagner la vente (il propose des scénarios de travaux, chiffrés et phasés). C’est un atout en visite : vous transformez un “risque” en plan d’action.
  • Dossier de diagnostics complet (électricité, gaz, amiante, plomb, ERP…). Moins d’ombre = moins de négociation.

10 actions rapides (et crédibles) pour améliorer la perception… et parfois l’étiquette

Ces leviers sont classés du plus “flash” au plus “structurel”. Leur objectif : faciliter la compréhension énergétique, réduire les déperditions visibles et, lorsque c’est pertinent, viser un gain d’étiquette.

ActionDélai indicatifBudget indicatifImpact attendu
Entretien chaudière / PAC + équilibrage radiateurs1–2 sem.€€Baisse conso, confort immédiat
Calorifugeage tuyaux + mousse sous radiateurs1 jourDéperditions réduites
Pose de robinets thermostatiques / régulation1 jour€€Confort, pilotage fin
Étanchéité à l’air (bas de portes, boîtes à volet, prises)1–3 joursConfort hiver/été
Ventilation : révision ou remplacement bouches VMC1–2 jours€–€€Air sain, évite surconsommations
Remplacement éclairage par LED + minuteries parties communes1 jourCharges réduites (copro + maison)
Isolation des combles perdus (maison)1–2 jours€€Gros levier : jusqu’à un saut d’étiquette possible selon cas
Menuiseries performantes (pièces clés)1–2 sem.€€€Confort + déperditions, parfois gain d’étiquette
Chauffe-eau performant (thermodynamique)1–2 jours€€€Baisse conso ECS notable
Programmation chauffage pièce par pièce1 jour€–€€Factures mieux maîtrisées

Astuce Béa Immo : regroupez les justificatifs (factures, fiches techniques, photos « avant/après ») dans un “Carnet Énergie du bien” à remettre en visite. Même si l’étiquette n’évolue pas, la preuve d’une dépense maîtrisée est un argument commercial solide.


Viser un palier d’étiquette : quand l’effort en vaut la peine

Dans certaines configurations, un combo “combles + ventilation + pilotage chauffage” peut faire gagner un palier (ex. de E vers D). Sur un appartement, menuiseries ciblées (façade froide) + réglage émetteurs + VMC améliore souvent le confort et la conso.

Règle d’or : ne promettez jamais un saut d’étiquette sans étude. Faites pré-simuler votre cas (diagnostiqueur, auditeur, conseiller France Rénov’). L’objectif n’est pas de tout refaire, mais de déverrouiller les points noirs qui effraient les acheteurs.


Aides et financements : rendre l’équation vendeuse

  • MaPrimeRénov’ : finance des gestes (isolation, ventilation, chauffage performant) ou une rénovation d’ampleur (objectif : gagner au moins 2 classes, avec bouquet de travaux).
  • Éco-PTZ : prêt à taux zéro jusqu’à 50 000 € selon l’ampleur des travaux, souvent cumulable avec MaPrimeRénov’.
  • Copropriété : renseignez-vous sur les dispositifs dédiés (travaux votés, subventions locales). Pour un vendeur, montrer que l’ingénierie financière est clarifiée sécurise l’acheteur et préserve le prix.

Conseil Béa Immo : dans l’annonce, annoncez les aides mobilisables sur le bien (et leur ordre de grandeur). Ce n’est pas un engagement, c’est une boussole pour l’acheteur.


Mise en scène “énergie” dans l’annonce et en visite

  • Accroche : valorisez le classement DPE et le coût annuel théorique fourni par le diagnostic.
  • Bullets “confort” : orientation, inertie du bâti, ventilation fonctionnelle, mitigeurs, robinets thermostatiques, programmation.
  • Preuves visuelles : photos du grenier isolé, des bouches de VMC neuves, des joints de fenêtres, du carnet d’entretien chaudière.
  • Projection : si F/G, joignez un plan de travaux “en deux temps” (gain immédiat + gain structurel). Vous transformez un frein en feuille de route.

Cas pratiques (vécus Béa Immo)

  • Maison 1975, 95 m², étiquette E : isolation combles + équilibrage radiateurs + VMC hygro B → confort en 10 jours, consommation stabilisée ; mise en vente avec dossier factures ; négociation limitée à 2,5 %.
  • Appartement traversant années 60, étiquette D : réglage chauffage collectif + robinets thermostatiques + joints menuiseries → ressenti confort été/hiver, conso mesurée en baisse sur charges ; 6 visites qualifiées en 8 jours, offre au prix.

Check-list express avant la mise en vente

  • DPE et, si F/G, audit énergétique en main.
  • Carnet Énergie (factures, fiches techniques, photos).
  • Équipements réglés et entretenus (chaudière/PAC, VMC).
  • Petites fuites d’air traitées et points de déperdition visibles.
  • Message clair dans l’annonce : classement, coûts, aides mobilisables.

FAQ rapide

Dois-je refaire un DPE après de petits travaux ?
Pas obligatoire, mais pertinent si les gains sont mesurables (isolation combles, changement ECS). Un nouveau DPE peut améliorer l’étiquette et la perception.

Un logement F/G peut-il se vendre vite ?
Oui, s’il est documenté : audit clair, devis cadrés, planning de travaux et aides identifiées. L’incertitude, plus que le chantier, freine l’acheteur.

Quel est le meilleur “premier geste” ?
Souvent combles (maison) ou ventilation + réglages (appartement). C’est rapide, lisible et rentable.

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