Comment se calculent les frais de notaire dans un échange ?
L’échange immobilier bénéficie d’une taxation différente car il ne représente qu’un seul acte, qui est l’échange, en lieu et place de deux achats ventes simultanés.
Les calculs sont les suivants:
1% d’impôt est prélevé sur le bien le plus cher + 5% sur le bien le moins cher + 6,3% sur la soulte (la somme différentielle entre les deux biens) =
La somme des frais de notaire à répartir entre les deux co-contractants.
Les économies peuvent aller jusqu’à 60% par rapport aux taux d’un achat/vente classiques.
Exemple concret :
Avec le bien A d’une valeur de 300 000€ et le bien B d’une valeur de 400 000€ :
Calculons les frais classique :
Pour l’acheter les bien A il faudra dépenser en frais de notaire : 300 000€ X 8% = 24 000 €
Pour l’acheter les bien B il faudra dépenser en frais de notaire : 400 000€ X 8% = 32 000 €
Calculons les frais en échange :
( 300 000 X 5% ) + (( 400 000- 300 000) X 6,3% ) + (400 000 X 1%) = 25 300 € .
Soit une économie de 54,82% sur les frais de notaire au total.
Une fois réparties , les frais de notaires coûtent :
Pour l’achat de l’appartement de A: 10 843 € soit une économie de 13 157€ pour l’acheteur .
Pour l’achat de l’appartement de B: 14 457 € soit une économie de 17 542€ pour l’acheteur .
Paris est de nouveau sous tension : l’accès au logement se durcit, les délais de transaction s’allongent et chaque décision compte. Dans ce contexte, une alliance inattendue émerge : l’échange immobilier définitif — qui permet à deux propriétaires d’échanger leurs biens via un acte notarié — et le coliving — une colocation haut de gamme avec services. Ensemble, ils offrent une sortie par le haut : on se loge vite, on optimise ses coûts et on restaure de la flexibilité là où le marché la refuse. Ce guide Béa Immo vous montre comment articuler ces deux leviers, ce que dit la loi, et comment réussir votre opération à Paris.
Pourquoi l’alliance « échange + coliving » fait sens en 2025
Le marché se réveille à peine, avec des signes timides de reprise (légères hausses de prix à Paris), tandis que les taux se détendent autour de 3 % au printemps 2025. Résultat : la demande reste sélective, les arbitrages budgétaires serrés et l’envie de déménager… intacte. D’où l’intérêt de mécanismes qui réduisent le temps et le coût d’accès au bon logement.
Dans le même temps, le cadre réglementaire incite à produire des logements « efficaces » : extension du PTZ jusqu’en décembre 2027 sur le neuf, reclassification de nombreuses communes en zones tendues (dont Paris), et interdiction, depuis le 1er janvier 2025, de louer des logements classés G au DPE. Autant de paramètres qui influencent les stratégies des propriétaires et dopent l’appétence pour des solutions hybrides.
Échange immobilier définitif, en bref
Deux propriétaires échangent leurs biens via un notaire, avec éventuelle soulte si les valeurs diffèrent. L’acte est authentique, les diagnostics sont requis, et la fiscalité suit la logique d’une mutation à titre onéreux. L’intérêt : se « chausser » rapidement dans un bien adapté, éviter une double chaîne vente/achat et lisser les coûts.
Coliving, en bref
C’est une colocation structurée (baux individuels, espaces communs design, services), taillée pour actifs en mobilité ou étudiants internationaux. En zones tendues, il contribue à la fluidité résidentielle et peut rentabiliser des surfaces mal-optimisées.
À Paris : le duo qui résout trois contraintes
1. Le temps. Échanger évite la séquence « je vends puis j’achète ». Vous sécurisez votre futur toit sans trou d’air, un vrai plus dans une capitale où les décisions se prennent vite. Le coliving, lui, vous donne un plan B (ou un sas) immédiatement opérationnel.
2. Le budget. L’échange peut réduire certains coûts liés à une double transaction et limiter le besoin d’un prêt relais. Le coliving, avec des loyers mutualisés et des charges prévisibles, absorbe une partie des aléas pendant la transition.
3. Le cadre légal. Paris est en zone très tendue : la pression sur l’offre, les règles de location (dont la non-décence des DPE G depuis 2025) et l’attrait pour les logements performants énergétiquement incitent à des montages plus agiles.
Mode d’emploi : réussir « échange + coliving » à Paris
Identifier le bon partenaire d’échange. Sur Béa Immo, filtrez par arrondissement, typologie (studio, 2 pièces, loft…) et critères (balcon, DPE, étage). Les recherches géolocalisées et descriptives captent la bonne intention : « échange appartement Paris 11 avec balcon », « échange T3 Paris rive gauche ».
Calibrer la valeur et la soulte.
Faites estimer objectivement les deux biens (références locales, état, DPE).
Ajustez via soulte pour équilibrer. Le notaire formalise l’acte et sécurise la mutation.
Sécuriser le financement.
Si besoin, un prêt relais peut rester utile, mais l’échange limite la durée d’exposition.
Le PTZ s’envisage sur le neuf sous conditions (utile si l’un des biens échangés est assimilable à une acquisition neuve dans votre parcours).
Préparer le dossier juridique. Diagnostics (dont DPE), titres de propriété, états des risques, règlement de copropriété, procès-verbaux, charges. À Paris, la vigilance sur la conformité (travaux, usage) est clé.
Organiser le coliving comme « tampon » ou modèle durable.
En tampon : louer une chambre en coliving 3 à 6 mois, le temps de finaliser l’échange (période type d’une vente longue ou d’un financement).
En modèle durable : si vous échangez un grand appartement, l’exploiter en coliving légal et responsable peut améliorer la rentabilité, surtout en quartiers bien desservis.
Comparatif express
Critère
Vente classique seule
Échange + coliving
Délais
4–6 mois (chaîne acheteur/vendeur)
Compression des délais grâce à la synchronisation et au « sas » coliving
Visibilité coût
Frais segmentés, parfois imprévus
Coûts lissés, soulte maîtrisée, besoin réduit de relais
Souplesse
Dépend du marché et de l’acheteur
Forte : deux parties alignées + solution d’occupation immédiate
Risques opérationnels
Rupture de chaîne, logement transitoire
Rupture limitée, coliving absorbe l’attente
Adéquation au besoin
Parfois imparfaite
Échange calibré sur critères (surface, quartier, DPE)
Cas d’usage (vécu par nos utilisateurs, noms modifiés)
Élise & Karim – Paris 12 → Paris 11. Ils troquent leur 3 pièces lumineux contre un 2 pièces plus central. Une soulte compense la différence de valeur. Pour éviter la pression du calendrier, Karim prend une chambre en coliving près de la place de la République pendant 4 mois, le temps d’aligner financement et travaux. Résultat : zéro nuit d’hôtel, zéro garde-meubles, et une signature sereine.
Cadre 2024–2025 : ce qu’il faut retenir avant de vous lancer
Zones tendues : reclassification large en 2024, Paris reste au cœur de la tension. Impact : exigences accrues et intérêt pour des solutions agiles comme l’échange.
PTZ : prolongé/élargi jusqu’à décembre 2027 sur le neuf, utile pour recomposer votre financement post-échange.
DPE : logements classés G non décents depuis le 1er janvier 2025, attention aux travaux à planifier après l’échange.
Taux/crédit : détente confirmée en 2025, rendant les arbitrages plus lisibles.
Publier une fiche d’échange complète (photos, plan, charges, DPE, travaux).
Pré-calculer une fourchette de soulte.
Vérifier faisabilité de coliving (copropriété, bail adapté, conformité).
Anticiper le calendrier : option « vente longue » si utile, avec dates jalons claires.
Verrouiller diagnostics et pièces avant le rendez-vous notaire.
FAQ
L’échange est-il aussi sûr qu’une vente ? Oui. Il passe par un acte notarié, engage des diagnostics et suit la fiscalité d’une mutation à titre onéreux. La différence de valeur se règle par soulte.
Puis-je cumuler échange et prêt relais ? Oui, mais l’échange peut réduire la durée de relais nécessaire en synchronisant les opérations.
Quel impact du DPE à Paris ? Un bien classé G n’est plus louable depuis le 1er janvier 2025 : anticipez un plan de travaux si vous comptez louer (coliving inclus).
Le PTZ peut-il m’aider après un échange ? Sur le neuf, jusqu’en décembre 2027, oui sous conditions : utile pour compléter votre schéma de financement post-échange.
Pourquoi parler de « vente longue » ici ? Parce que la vente longue décale la signature de l’acte définitif et vous laisse le temps de vous organiser (financement, déménagement). Combinée à un coliving temporaire, elle lisse votre parcours.
On rêve de l’Atlantique et d’un petit jardin pour les enfants… mais on tient à la gare TGV et aux commodités d’un quartier intra-muros. En vente classique, concilier ces mondes suppose de vendre puis d’acheter, avec son lot d’incertitudes et souvent un prêt relais. L’échange immobilier définitif propose une voie directe : deux propriétaires aux besoins inverses s’accordent, ajustent la différence de valeur par une soulte, et signent un acte notarié unique. Résultat : un glissement de mode de vie sans double logistique.
Littoral ↔ Intra-muros : ce que chacun cherche vraiment
Profil
Priorités
Points de vigilance
Partir en bord de mer
Jardin/terrasse, plage/côte à proximité, calme, école à taille humaine
Accès aux soins/commerces, saisonnalité, entretien extérieur, mobilité
Bruit, charges de copropriété, taille plus compacte, stationnement
L’échange met ces priorités en regard et les équilibre via la soulte plutôt que par une décote.
Pourquoi l’échange simplifie la bascule « ville ↔ mer »
Acte unique : une seule signature, des formalités mutualisées.
Un seul déménagement : calendrier synchronisé, pas de logement provisoire.
Soulte finançable : on remplace le prêt relais par une soulte (épargne/prêt classique).
Négociation d’usage : on paye l’usage idéal (jardin vs transports) plutôt qu’un prix imposé par l’urgence.
Cas pratique 1 : Nantes intra-muros → maison sur la côte
Situation : Maud et Pierre possèdent un T3 à Nantes centre (proche gare). Ils visent une maison à Pornic. En face, Léa et Hugo veulent l’inverse : quitter leur maison littorale pour un pied-à-terre urbain. Accord : valeurs différentes → soulte convenue et finançable. Calendrier : avant-contrat d’échange J+30, acte unique J+58, un seul déménagement. Gain : Maud et Pierre gagnent du plein air ; Léa et Hugo gagnent la ville à pied.
Cas pratique 2 : Maison littorale → T3/T4 intra-muros
Situation : Claire et Thomas entretiennent une maison à La Rochelle devenue trop grande. Ils visent un T3/T4 à Bordeaux proche tram + gare. Match : famille bordelaise en télétravail qui veut exactement l’inverse (jardin + océan). Soulte : ajustée selon DPE, travaux et stationnement. Résultat : budget lisible, un acte, un déménagement.
Échange vs parcours séquentiel : qui protège votre projet ?
Sujet
Vendre puis acheter
Échange immobilier
Étapes
Deux transactions
Un seul acte
Financement
Souvent prêt relais
Soulte finançable
Délais
Aléas de marché
Date unique synchronisée
Logistique
Risque logement provisoire
Un seul déménagement
Négociation
Rabais/surenchère
Usage ↔ usage + soulte
Bien calibrer la soulte « ville ↔ mer »
Estimations sincères des deux biens (références locales, état, DPE).
Atouts non monétaires pris en compte : temps vers gare/métro, distance à la plage, jardin exploitable, nuisances.
Panier travaux (si maison à rafraîchir / appart à rénover) intégré dans la discussion.
Scénarios (2–3) de soulte selon calendrier et travaux.
Avant-contrat : conditions suspensives, date unique, pièces de copropriété/urbanisme.
Check-list « littoral vs intra-muros »
Mobilité : temps réel jusqu’à la gare/ligne structurante ; parking/box si urbain.
Vie quotidienne : école, médecin, commerces à pied ; saisonnalité touristique.
Calendrier : date unique + créneaux déménageur ; réservation éventuelle de ponton/parking ou local vélos.
Exemple pédagogique (ordre de grandeur)
Bien A : T3 intra-muros 520 000 € (ascenseur, métro à 5 min).
Bien B : Maison littorale 590 000 € (jardin, plage à vélo).
Différence brute : 70 000 € → soulte à ajuster selon DPE, travaux toiture/jardin et calendrier.
Questions fréquentes
La soulte peut-elle compenser l’entretien d’un jardin/une toiture ? Oui, ces postes entrent dans la négociation et se reflètent dans la soulte.
Et si la zone littorale est très saisonnière ? On documente la saisonnalité (accès, nuisances, services) et on ajuste la soulte et le calendrier (emménagement hors pics).
Peut-on échanger si l’un des biens a un DPE faible ? Oui, via un panier travaux intégré à la soulte (fenêtres, isolation, chauffage).
L’échange évite-t-il le prêt relais ? Souvent, oui : la soulte remplace le financement transitoire, avec un acte unique.
Besoins ville contre envies mer — ou l’inverse ? Publiez votre bien et vos critères. Trouvez le duo miroir, équilibrez par soulte, signez une fois et changez d’horizon sans vous épuiser.
Quand on cherche « avis échange maison », on veut du vécu, pas des théories. Sur Béa, des propriétaires racontent comment ils ont troqué leur logement pour mieux coller à leur vie — souvent en réduisant fortement leurs frais de mutation. Voici des témoignages concrets (retraités qui passent de 120 m² à 80 m², familles qui gagnent une pièce sans augmenter leur budget, héritiers qui sortent d’une indivision) et, surtout, ce qu’ils referaient… ou pas. À la fin, une méthode simple pour transformer votre propre expérience en annonce qui inspire confiance.
Pourquoi les témoignages d’échange parlent plus fort que les chiffres
Parce qu’ils répondent aux trois vraies questions : est-ce que ça marche pour des gens comme moi ?, combien ça m’a coûté (ou fait économiser) ?, quels écueils éviter ? Le dispositif d’échange réduit souvent les frais (un acte notarié au lieu de deux, fiscalité calculée sur la soulte en cas d’écart de valeur) et synchronise les calendriers des deux parties. Les récits qui suivent ont été recomposés à partir de cas réels partagés sur le blog de Béa et dans la presse spécialisée, afin de préserver l’anonymat des personnes tout en conservant les ordres de grandeur et les étapes clés.
Cas #1 – Retraite active : « 120 m² → 80 m², plus simple et moins cher »
Profil. Couple de jeunes retraités en ville. Appartement de 120 m² devenu trop grand. Souhait : un 80 m² avec ascenseur, proche des services. Blocage initial. Vendre puis racheter : trop de délais, risque de prêt relais. Le déclic. Mise en relation via une plateforme d’échange : match avec un couple qui veut l’inverse (gagner de la surface en restant dans le quartier). Le montage. Échange définitif avec soulte au profit des retraités (leur bien valait moins). Acte unique, diagnostics, répartition des frais. Le résultat. Emménagement simultané, charges divisées, frais de mutation allégés grâce au calcul sur la soulte. Dans des témoignages comparables publiés en presse grand public, des économies de l’ordre de dizaines de milliers d’euros sont évoquées lorsque les valeurs sont élevées.
Avant / Après (vue synthétique)
Élément
Avant
Après
Surface
120 m²
80 m²
Confort
4e sans ascenseur
Résidence avec ascenseur
Frais notariés
2 actes (vente + achat)
1 acte d’échange (DMTO calculés sur la soulte)
Trésorerie
Risque de relais
Synchronisation des transferts
Ce qu’ils referaient : « Faire estimer les deux biens par des pros et verrouiller la soulte noir sur blanc avant de bloquer la date de signature. »
Cas #2 – Famille qui grandit : « Une chambre de plus sans casser la tirelire »
Profil. Famille de 4, appartement T3 bien placé mais exigu. Blocage initial. Les T4 à budget équivalent partent vite, et les frais s’additionnent. Le déclic. Échange avec un couple de seniors qui voulait… un T3 plus facile à vivre. Le montage. Valeurs proches, soulte faible. Le résultat.Une pièce en plus et une école de secteur inchangée. Frais réduits car un seul acte et partage des coûts entre co-échangistes.
Ce qu’ils referaient : « Anticiper les diagnostics (DPE, électricité) pour éviter un décalage de calendrier. »
Cas #3 – Succession apaisée : « On sort d’une indivision sans vendre dans l’urgence »
Profil. Fratrie héritière d’un appartement à Paris et d’une maison en région. Blocage initial. Conflit : l’un veut garder l’appartement, l’autre préfère la maison. Le déclic.Échange assorti d’une soulte dans le cadre du partage, frais calculés sur l’écart de valeur et non sur la totalité des biens. Le résultat. Sortie d’indivision rapide, équilibre patrimonial, coûts maîtrisés. Des retours de terrain et articles spécialisés confirment que l’échange est un levier simple pour ce type de cas.
Ce qu’ils referaient : « Impliquer le notaire très tôt pour cadrer la fiscalité locale (DMTO) et les délais. »
Cas #4 – Changer de vie… sans prêt relais
Profil. Quadragénaires qui quittent un hypercentre cher pour une maison périurbaine. Blocage initial. Marché ralenti, peur du décalage vente/achat. Le déclic.Échange croisé : leur 3 pièces contre une maison plus grande de propriétaires souhaitant l’inverse. Le résultat.Emménagement simultané et économie sensible sur les frais. Certaines sources chiffrent ces économies « jusqu’à ~60 % » en fonction des montants et de la configuration (exemple chiffré public à l’appui).
Ce que disent (souvent) les avis d’échange immobilier
« On gagne du temps » : on ne dépend plus d’une vente préalable, les deux calendriers se superposent.
« On dépense moins » : un seul acte notarié, droits de mutation calculés différemment, partage des frais entre parties.
« On décide à deux » : le match repose sur des besoins réellement complémentaires (plus grand/plus petit ; ville/campagne ; étage/ascenseur…).
Les 5 questions qui rassurent vos futurs « matchés »
1. Pourquoi avez-vous choisi l’échange ? Expliquez en 3 lignes votre contexte (famille, travail, retraite). 2. Qu’avez-vous réellement économisé ? Parlez de l’ordre de grandeur et de la mécanique (soulte, partage des frais) plutôt que d’un montant net si vos comptes ne sont pas finalisés. 3. Quelles contraintes avez-vous rencontrées ? Diagnostics, délais bancaires, petites surprises techniques : dites-les. 4. Comment avez-vous sécurisé l’opération ? Notaire, calendrier d’étapes, pièces prêtes avant la signature. 5. Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui hésite ? Un geste concret : faites estimer les deux biens et simulez la soulte.
Méthode Béa pour structurer un témoignage qui convertit
Accroche. Une phrase « avant → après » (ex. « 120 m² sans ascenseur → 80 m² avec ascenseur, à deux rues de chez nous »). Contexte. 4–5 lignes : famille/retraite, délais, budget. Montage. Valeurs des biens, soulte, calendrier, financements. Résultat. Gains de confort + impact financier (frais, DMTO, commission évitée). Leçon. Ce que vous referiez et ce que vous éviteriez. Call-to-action. Lien interne vers « Le béaba de l’échange » et « Le calculateur Béa » (pages maison).
Tableau récap’ — Ce que les lecteurs « avis échange maison » veulent savoir
Point clé
En échange
Bonne pratique
Actes notariés
1 seul acte d’échange
Bloquer une date commune et préparer les diagnostics
Fiscalité
DMTO calculés sur la soulte en cas d’écart de valeur
Demander un chiffrage à son notaire
Financement
Pas de prêt relais si échanges synchronisés
Anticiper l’accord bancaire s’il y a un prêt en cours
Économies
Potentiellement élevées selon valeurs/soulte
Simuler plusieurs scénarios sur le calculateur
Risques
Calendrier et estimation mal cadrés
Estimations croisées + rétro-planning partagé
Les règles locales (départements) et la configuration du dossier peuvent faire varier les chiffres. Faites valider votre cas par un notaire.
Conseils pratiques pour publier (et faire ranker) vos témoignages
FAQ locale : créer des variantes par ville/région (« avis échange maison Loire-Atlantique », « avis échange appartement Paris 12 »).
FAQ express
Est-ce vraiment moins cher que vendre puis racheter ? Dans de nombreux cas, oui : un seul acte et un calcul de droits qui tient compte de la soulte lorsque les biens n’ont pas la même valeur. Faites confirmer votre cas par votre notaire.
On peut vraiment emménager le même jour ? Oui, c’est même l’un des atouts majeurs évoqués par les utilisateurs et la presse : calendrier synchronisé, moins de transitoire.
Et si les biens n’ont pas exactement la même valeur ? On équilibre par une soulte (versement de la différence). Les frais sont alors calculés en conséquence.