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En 2025, acheter une maison en France n’est plus seulement une affaire de visites et de négociations. Le marché a changé.
Les prix se stabilisent dans certaines zones, reculent encore dans d’autres, et les taux d’intérêt, bien qu’en baisse par rapport à 2023-2024, restent un frein pour beaucoup d’acquéreurs.
Résultat : des délais plus longs pour vendre et acheter, des prêts relais coûteux… et parfois des projets qui tombent à l’eau.
Pourtant, il existe une méthode que peu de gens connaissent, mais qui peut transformer complètement votre projet immobilier : l’échange immobilier définitif.
Et si, au lieu de vendre pour acheter, vous échangiez directement votre maison contre celle qui vous plaît ?
Avant de parler de l’échange, il faut comprendre pourquoi la transaction immobilière classique est devenue plus contraignante.
En moyenne, il faut entre 90 et 120 jours pour vendre une maison en France, parfois plus dans les zones rurales.
Chaque mois qui passe coûte cher : remboursements du prêt actuel, entretien du bien, charges, impôts.
Pour acheter avant de vendre, la solution traditionnelle est le prêt relais. Mais il cumule :
Entre les frais d’agence, de notaire, de déménagement et les éventuels travaux, la facture grimpe vite.
Beaucoup de propriétaires perdent plusieurs milliers d’euros rien qu’en cumulant double frais de notaire (vente + achat).
L’échange immobilier définitif est un contrat dans lequel deux propriétaires s’échangent la propriété de leurs biens, avec ou sans compensation financière (soulte).
Il est encadré par le Code civil, articles 1702 à 1707, et doit être validé par un notaire.
Concrètement :
📌 Avantage clé : pas de prêt relais, pas de mise en vente publique, pas de double frais de notaire.
| Critère | Vente + Achat classique | Échange immobilier |
|---|---|---|
| Nombre d’actes notariés | 2 | 1 |
| Droits de mutation | Sur 100% des prix | Sur le bien le plus cher |
| Délai moyen | 3 à 12 mois | 1 à 3 mois |
| Risque de prêt relais | Oui | Non |
| Frais d’agence | Oui (souvent) | Non (direct propriétaire) |
💡 Solution : Échange immobilier avec soulte de 20 000 € versée par la famille A à la famille B.
Résultat :
Dans un achat classique, vous payez des frais sur le prix total d’achat.
En échange, les frais s’appliquent uniquement sur la valeur du bien le plus élevé.
Vous devenez propriétaire du nouveau bien en même temps que vous cédez l’ancien.
Pas de double remboursement, pas de risque de vendre à perte par urgence.
Pas de publicité de vente, pas de visites multiples, pas d’honoraires d’agence (si échange direct).
“Nous pensions vendre notre maison à Pornic pour acheter à Nantes. Après 4 mois sans acheteur, nous avons découvert Béa Immo. En un mois, nous avons trouvé une famille qui cherchait l’inverse. L’échange nous a permis d’éviter les frais d’agence et de réduire nos frais de notaire. En prime, pas de prêt relais !” — Céline et Marc, 42 et 45 ans.
Acheter une maison en 2025 ne rime plus forcément avec vente longue et prêt relais.
L’échange immobilier est une alternative légale, sécurisée et financièrement avantageuse.
Pour ceux qui savent où chercher, c’est souvent le chemin le plus court vers la maison idéale.
Ces derniers jours, une question revient en boucle : “La hausse attendue des frais de mutation, c’est une super nouvelle pour Béa, non ?”
On a décidé de vous répondre ici, en essayant de ne pas trop vous assommer de détails techniques. La réponse, c’est non.
Pourquoi? Quand on a pour mission de permettre à chacun de retrouver le plaisir de faire de l’immo, on ne peut pas se satisfaire qu’un projet, présenté comme une solution budgétaire pour les collectivités locales, risque en réalité d’aggraver la crise du marché immobilier.
Derrière la baisse de 22% du nombre de transactions entre 2021 et 2024, il y a des réalités que l’on connaît bien:
- celles de familles en mouvement bloquées dans des logements inadaptés,
- celles de personnes déjà en difficulté qui doivent en plus se séparer de près de 9% de la valeur de leur bien pour s’en sortir
- et celles d’un secteur immo à bout de souffle.
Voilà pourquoi Béa s’engage contre cette loi et promet de redoubler d'efforts pour proposer une alternative positive pour les gens, comme pour le marché.
Vous êtes toujours là ? Cool ! Voici les principales raisons de notre rejet de cette loi :
Le gouvernement envisage d’augmenter de 0,5 % les droits de mutation sur les transactions dans l’immobilier ancien, une mesure qui frapperait directement les secundo-accédants.
🎯 Les secundo-accédants pris en étau
Contrairement aux primo-accédants (qui bénéficient encore de certains dispositifs d’aide), les secundo-accédants doivent tout financer eux-mêmes.
🔴 Cette mesure pénalise :
• 📌 Les familles qui veulent un logement plus grand.
• 📌 Les actifs en mutation professionnelle contraints de vendre pour acheter ailleurs.
• 📌 Les seniors qui souhaitent vendre pour un bien plus adapté à leur âge.
💡 Conséquence ? Beaucoup repousseront leur projet ou resteront coincés dans un logement qui ne correspond plus à leurs besoins.
❗ Une fausse bonne idée budgétaire
Le gouvernement justifie cette hausse par la nécessité de renflouer les finances locales. Mais en taxant encore plus les transactions, on risque l’effet inverse :
📉 Moins de ventes = moins de recettes fiscales !
📉 Un marché plus figé = un ralentissement économique local (moins de travaux, moins d’emplois liés à l’immobilier).
🔥 Notre alternative : une approche incitative plutôt que punitive !
📢 Au lieu de taxer davantage, voici des solutions plus justes et efficaces :
✅ Réduire progressivement les droits de mutation pour fluidifier le marché.
✅ Alléger la fiscalité sur la mobilité résidentielle pour s’adapter aux évolutions de vie.
✅ Mettre en place des exonérations spécifiques pour les secundo-accédants qui n’ont pas d’autre choix que de déménager.
N'hésitez pas à nous faire part de votre avis sur la question !

Après 60 ans, beaucoup de jeunes retraités propriétaires se retrouvent avec une maison devenue trop grande, coûteuse ou difficile à entretenir. Plutôt que de vendre et de racheter, l’échange immobilier définitif apparaît comme une solution simple, économique et humaine. Découvrons pourquoi de plus en plus de retraités choisissent d’échanger leur maison contre un appartement mieux adapté à leur nouveau rythme de vie.
Passé le cap de la retraite, nombreux sont les propriétaires qui réalisent que leur logement n’est plus en phase avec leurs besoins. Les enfants ont quitté le nid, le jardin demande trop d’entretien, les escaliers deviennent fatigants et les charges pèsent sur le budget.
C’est à ce moment-là qu’émergent de nouvelles aspirations : un appartement en centre-ville pour rester connecté à la vie culturelle, un logement plus petit pour réduire les dépenses, ou encore une résidence proche de la mer pour profiter pleinement de son temps libre. L’échange immobilier définitif permet de répondre à ces envies sans passer par le parcours classique, souvent long et coûteux, de la vente suivie d’un nouvel achat.
L’échange immobilier définitif, encadré par un notaire, repose sur un principe simple : deux propriétaires échangent leurs biens. Si les valeurs diffèrent, une soulte peut être versée pour équilibrer la transaction.
Pour les retraités, ce mécanisme offre trois avantages majeurs :
Marie et Jean, 67 et 70 ans, habitaient depuis 30 ans une grande maison familiale en périphérie de Nantes. « Nous n’avions plus l’énergie pour entretenir le jardin et les pièces restaient vides », explique Jean. Grâce à un échange immobilier, ils ont troqué leur maison contre un appartement de 3 pièces en centre-ville. « Aujourd’hui, tout est à portée de main : le marché, les médecins, les transports. Et nous avons même libéré du capital pour voyager. C’est une nouvelle jeunesse ! »
L’échange immobilier définitif n’est pas seulement une transaction : c’est un projet de vie qui permet aux jeunes retraités de simplifier leur quotidien, d’augmenter leur pouvoir d’achat et de se rapprocher de leurs envies. Une façon concrète de transformer sa retraite en une nouvelle aventure, plus légère et plus libre.